Fahdel, Abbas (19..-....)
Article
Auteurs
Hugeux, Vincent Auteur du texte
Bulletin : L'Express 3371 - février 2016
A travers l'histoire de sa famille, le cinéaste franco-irakien raconte dans son dernier film "Homeland : Irak, année zéro", le naufrage du pays natal sur un mode intimiste. Il évoque ici la genèse de cette saga sobre et poignante qui sort sur les écrans.
Article
Bulletin : Études 4224 - février 2016
Titres recensés : "Steve Jobs" de Danny Boyle et "Joy" de David O. Russell ; "Les chevaliers blancs" de Joachim Lafosse ; "Made in France" de Nicolas Boukhrief et "Taj Mahal" de Nicolas Saada ; "Homeland (Irak année zéro)" d'Abbas Fahdel ; "Les huit salopards" de Quentin Tarantino ; "Spotlight" de Tom McCarthy ; "Mistress America" de Noah Baumbach ; "Toto et ses soeurs" d'Alexandre Nanau.
Détails
Numéros de page :
7 p. / p. 107-113
Article
irak année zéro " -- le temps retrouvé
Auteurs
Raspiengeas, Emmanuel Auteur du texte
Bulletin : Positif 660 - février 2016
Critique et analyse du film "Homeland. Irak année zéro" de Abbas Fahdel.
Article
irak année zéro" d'Abbas Fahdel -- futur antérieur
Auteurs
Bui, Camille Auteur du texte
Bulletin : Cahiers du cinéma 719 - février 2016
L'invasion de l'Irak par les Américains en 2003 marque un point de rupture dans la vie des Irakiens, comme dans "Homeland (Irak année zéro)", véritable film-pays dont les deux pans ont été tournés avant et après mars 2003.
Article
un enfant dans la guerre
Auteurs
Mérigeau, Pascal Auteur du texte
Bulletin : <>Obs 2674 - février 2016
Date parution pério
2016-02-04
Abbas Fahdel a filmé dans "Homeland" la vie quotidienne dans son pays juste avant et après l'invasion américaine de 2003, et la mort de son jeune neveu, Haidar. Rencontre.
Article
"Homeland: Irak année zéro"
Auteurs
Rassan, Raphaël Auteur du texte
Bulletin : Europe 1043 - mars 2016
Date parution pério
2016-03-01
Mêlant chronique du quotidien et roman épique, "Homeland" se rapproche d'un autre "arrière-pays", celui décrit dans "Inland" (2008) par l'Algérien Tariq Teguia où cependant les non-dits tiraient le film vers un grand pessimisme, tonalité à laquelle Fahdel s'efforce de ne jamais céder. Le documentaire du cinéaste irakien demeure à fleur de peau.