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Farahani, Golshifteh (1983-....)

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Elle fut l'enfant chérie du cinéma iranien, avant de devenir une paria. Le régime des mollahs ne lui a pas pardonné son indépendance. Exilée en Europe, l'actrice de 34 ans multiplie les rôles, entre blockbusters hollywoodiens, comédies populaires et films d'auteur. Dans "Les Filles du soleil", d'Eva Husson, en compétition à Cannes, Golshifteh Fahrahani interprète une combattante kurde. Un rôle de résistante à l'image de ce qu'elle incarne aujourd'hui pour beaucoup d'Iraniennes.
Numéros de page :
pp.66-71

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Bulletin : Le Point
Première Iranienne à avoir joué dans une production américaine depuis 1979, combattante kurde au Festival de Cannes, elle reste tenue à l'oeil par le régime depuis son exil. Rencontre.
Numéros de page :
pp.108-111

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Bulletin : Première 490
Française de coeur et d'adoption, l'Iranienne Golshifteh Farahani mène une solide carrière internationale, où, entre les grands films d'auteur, les fresques politiques et les comédies familiales, filtre son inaltérable désir de liberté et d'émancipation.
Numéros de page :
pp.92-95

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Dans un premier long-métrage enlevé, "Un Divan à Tunis", la réalisatrice Manele Labidi réussit à se pencher avec humour sur les névroses que la révolution a réveillées au Pays du jasmin.
Numéros de page :
pp.92-95

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En psychanalyste d'un quartier populaire tunisois, Golshifteh Farahani illumine "Un divan à Tunis". Une présence solaire qui s'accompagne aussi d'une grande mélancolie chez l'actrice qui a dû quitter l'Iran en 2008 et voit dans cet exil une blessure pour la vie. Interview intime.
Numéros de page :
pp.36-39