La crise des subprimes a réduit au désespoir d'innombrables ménages américains. Puis contaminé l'ensemble des marchés financiers, soudain pris de folie. Dans toutes les Bourses de la planète, c'est le temps des montagnes russes !

Dans son dernier ouvrage, l'inventeur du microcrédit défend son nouveau credo, le ″social business″. Un outil au service d'une transformation de l'économie mondiale que le Prix Nobel de la paix appelle de ses voeux.

Ralentissement de la croissance, tempête sur les marchés financiers : les Etats ont fait la preuve de leur impuissance. Désormais, l'économie mondiale, zone euro en tête, ne repose plus que sur les épaules des grands argentiers des banques centrales.

La zone euro se prépare à la récession, le modèle chinois est remis en question. Avec une croissance attendue de 6% en 2012, l'Afrique peut profiter de cette situation morose pour se repositionner sur l'échiquier économique.

Alors que l'Afrique semblait sur la voie de la croissance, elle pourrait être touchée par la mauvaise santé de l'économie mondiale. Récession européenne, déficit américain et ralentissement chinois : le dynamisme africain est menacé de toutes parts.

Du patron de la Fed aux spécialistes du crédit hypothécaire, les responsables de l'effondrement du marché sont légion.

Un pétrole à plus de 100 dollars le baril mettrait en péril l'économie mondiale. Seuls les gros producteurs ont le pouvoir de réguler les cours à un niveau plus acceptable.

L'économie américaine va sans doute entrer dans une récession qui se propagera à d'autres pays. Mais on a déjà vu bien pire, relativise un chroniqueur britannique.

La baisse des prix des matières premières pourrait faciliter la reprise de l'économie mondiale. Mais probablement pas avant un an

Dans son discours à l'ONU du 23 septembre 2008, le président français s'est fait le porte-parole des Occidentaux, inquiets de perdre pied sur le continent noir au profit de la Chine.

La crainte d'une baisse des prix prolongée entretient la morosité boursière. Car la déflation alourdirait le fardeau de la dette supporté par les particuliers et les entreprises

L'intervention concertée des gouvernements des pays développés devrait éviter une grande dépression mondiale, mais la reprise n'est pas pour demain