9,7 % du marché des étiquettes imprimées en Europe le sont grâce à la technologie numérique, soit 16 milliards d'euros, selon une étude menée en 2017 par le cabinet américain LPC. Pour faire face à la demande, les fabricants s’équipent petit à petit d’imprimantes numériques permettant de doper la productivité. Cette évolution s’accompagne d’une tendance à la personnalisation de plus en plus accentuée. Les marques doivent faire la différence sur des marchés concurrentiels comme la parfumerie, la cosmétique ou les vins.

L'impression de gros volumes n'est pas une sous-traitance à prendre à la légère pour les entreprises. Il faut trouver le bon imprimeur, expérimenté pour ce genre de travaux et connaissant les techniques les plus adaptées. Les imprimeurs tentent de leur côté de se démarquer en soignant la relation client, mais aussi en optimisant leurs services : réduction des délais de livraison, prise en charge de tous les formats, mise sous plis, etc. La diffusion multicanale des documents est également une prestation appréciée des clients, qui ont ainsi plus de chances de toucher leur public. Détails.

L'entreprise ne sera probablement jamais zéro papier. Mais il est possible pour le monde professionnel d'optimiser ses comportements d'impression et de rendre cet aspect "RSE-compatible". Le papier représente encore 75 % des déchets de bureau. Un employé français consomme en moyenne 85 kilos de papier par an. Des améliorations sont donc possibles, aussi bien vis-à-vis du papier, dont la version recyclée gagne du terrain, que des machines d'impression et de photocopie. Les fabricants de ces dernières tentent en effet d'améliorer les performances énergétiques de leurs appareils.

Mobilité, éco-conception ou encore services associés, de nombreux éléments entrent désormais en ligne de compte dans le choix des systèmes d'impression par les entreprises françaises. Avec un seul et même objectif : réaliser des économies alors que l'impression pèse, en général, 3 à 5 % du chiffre d'affaires d'une entreprise. Des détails avec un tour d'horizon des systèmes d'impression aujourd'hui plébiscités. Pas de chiffres.

Alors que l'explosion du digital pouvait faire craindre la disparition de l'imprimé business to business, il n'est est rien, et c'est même le contraire. L'imprimé a survécu et a même réussi à profiter du numérique et des nouvelles technologies pour renaître, en proposant des produits ciblés et haut de gamme multiples et créatifs. Le marché de l’impression en ligne représentait en 2014 30,43 milliards d’euros, soit 9,4 % du marché global de l’imprimé.

L'imprimerie française fait de la résistance face au digital et à la baisse du nombre de tirage, grâce au luxe. Ainsi, alors que les marques ont besoin de la plus qualité pour les éditions papier, l'imprimé haut de gamme perdure. Les imprimeries investissent alors dans la technologie, y compris le numérique qui est utilisé en complément d'un savoir-faire séculaire. En effet, la souplesse des nouvelles technologies permet aux imprimeurs d'être plus réactifs et de pouvoir s'adapter rapidement aux contraintes de leur clientèle. Explications. Pas de chiffres.

La problématique du "zéro papier" dans les entreprises est récurrente en France depuis plusieurs années. Sa consommation pourrait représenter 3 à 5 % du CA d'une société, sans compter l'impact environnemental. Afin de tendre vers une non-utilisation du papier, certaines entreprises font donc le choix de se doter de logiciels d'impression permettant de mieux gérer et rationaliser les flux d'impression.

Le web-to-print procure flexibilité et autonomie aux clients qui ont des besoins d’impression. Alors que les imprimeurs traditionnels s'ouvrent au numérique pour répondre aux demandes de leurs clients, les imprimeries de labeur, soit les entreprises traitant de travaux d’impression de textes ou d’images en excluant la presse quotidienne, se spécialisent sur le créneau du web-to-print.

Les applis d'impression mobiles complètent efficacement les smartphones pour éditer des photos ou des documents bureautiques. Et à la différence de celles des constructeurs, elles fonctionnent avec les imprimantes de toutes les marques.

Si la "dématérialisation" des documents s'inscrit dans une tendance de fond, il faut se rendre à l'évidence : nous avons toujours besoin d'imprimer. Mais avec quelle imprimante et quels consommables ? C'est toute la question. Sommaire. Imprimez plus écolo et moins cher. A chaque usage son imprimante. Les consommables : le nerf de la guerre.