Après une décennie de hits graveleux, la comédie US "R-Rated" (interdite aux moins de 17 ans) ne fait plus recette. Parce qu'elle n'amuse plus ? Pour Todd Phillips, réalisateur des "Very Bad Trip" à la recherche d'un nouveau souffle avec "War Dogs", ce n'est qu'une partie du problème.

Rarement un auteur contemporain majeur aura connu autant d'adaptations cinématographiques que Tennessee Williams. De plus, il ne s'agit guère de simples mises en boîte ou de captations, mais bien d'oeuvres de grands cinéastes (Elia Kazan, Richard Brooks, Joseph L. Mankiewicz, Sidney Lumet, Joseph Losey, John Huston) impliquant des acteurs de grande envergure (Elizabeth Taylor, Vivien Leigh, Marlon Brando, Katharine Hepburn, Paul Newman, Joanne Woodward, Montgomery Clift, Geraldine Page).

A la veille de sortir un nouveau film, "Basic", le cinéaste de "Piège de cristal" et du "13e Guerrier", fait le récit de ses rapports houleux avec Hollywood.

En sept ans, il est passé de la série B à "Terminator 3". Récit lucide d'une ascension inespérée.

Encore sous le choc postraumatique du 11 septembre, mais loin des bruits de bottes en Irak, le cinéma américain tourne à plein régime.

Le cinéma français peine à donner une représentation réaliste de la vie politique, et plus encore à donner à voir le travail d'un homme politique en action. Le cinéma américain, comme le montre à nouveau la série ″A la Maison-Blanche″ (″The West Wing″), est plus à l'aise pour construire des intrigues et des personnages dans un milieu professionnel comme celui des cercles du pouvoir. C'est pourquoi le film de Pierre Schoeller, ″L'exercice de l'Etat″, retient l'attention par une approche du travail politique au ras de l'expérience.

Alors que des groupes commencent à faire pression sur les vidéoclubs et les réseaux câblés pour qu'ils ne diffusent plus de films dont le contenu est jugé "inapproprié" (notamment "Piège de cristal" ou "Couvre-feu"), Hollywood semble dans l'embarras.

C'est le plus célèbre des hommes sans visage... Sortie en DVD de cinq films de la légendaire saga de l'homme invisible. Avec ou sans bandelettes, un des « monstres », les plus fascinants des studios Universal...

Hollywood ! Qui aurait pu imaginer, au début du siècle, que l'invention d'une machine à images par les frères Lumière, dix ans plus tôt, allait faire de ce hameau de la banlieue de Los Angeles la plus grande usine à rêves du monde, paradis et enfer, carrefour de vices et de vertus, où les passions, les scandales, parfois les crimes, allaient rythmer la vie d'une nouvelle race de dieux et de déesses : les stars ?