Le discours qui accompagne la diffusion d'Internet parle de nouveau "lien social" et semble dévaloriser, voire exclure, tout ce qui serait susceptible de ne pas entrer dans le cadre de ces nouvelles techniques. Faudrait-il considérer comme archaïque ce qui relève de la "parole vivante" ?

En quelques mois, un raz-de-marée a submergé le Net. Plus interactifs que les blogs, plus accessibles que les mondes virtuels, les réseaux sociaux sont devenus le point de rencontre incontournable de la génération Web 2.0.

Ses allures de lord anglais et ses manières un brin sophistiquées font oublier sa carcasse de rugbyman et son tempérament de fonceur : à 43 ans, avec une carrière de surdoué, David Jones est le plus méconnu des grands patrons mondiaux de la pub. Influent PDG d'Havas depuis janvier 2009, cet Irlando-anglo-gallois est sorti de l'ombre lorsqu'on l'a aperçu, rayonnant, au côté du conservateur David Cameron, dont il a fait la campagne en Grande-Bretagne.

Avec les blog et les mobiles, l'info est-elle en train d'échapper aux professionnels des médias ? Une enquête fouillée qui reste ouverte.

L'évènement d'Internet et de la télévision par satellite a bouleversé notre rapport aux médias. Pour le spécialiste britannique Brian McNair, il est temps de se ressaisir.

souvent présentés comme des modèles de démocratie participative, Wikipédia et Digg sont en fait contrôlés par un très petit nombre d'utilisateurs.

Pour aider les Internautes à effacer toutes les traces qu'ils laissent sur le Net, des sociétés proposent des services sur mesure susceptibles de blanchir les réputations parfois les plus sulfureuses

A une époque où les responsables politiques n'osent plus révolutionner le monde, les prophètes de la Silicon Valley rêvent d'imprimer leur marque sur la société, explique le magazine britannique "New Statesman". A l'instar de Facebook, les géants du web inventent de nouveaux services qui bousculent les frontières traditionnelles des Etats.