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Lafarge

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A 93 ans, Fernande Brunel est la dernière habitante de la cité Blanche, en Ardèche, berceau du groupe Lafarge. Construite en 1880 pour loger les ouvriers du cimentier français, ce fut autrefois une ville, avec ses commerces, écoles, son théâtre et son cinéma, et même sa maternité. Aucun projet de réhabilitation des lieux, désertés il y a plus de quinze ans, n’est à l’ordre du jour, malgré leur inscription à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques. Comme le symbole d’un patrimoine industriel négligé.
Numéros de page :
pp.38-43

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Bulletin : L'Express 3446
Le cimentier est visé par une enquête judiciaire sur les activités de sa filiale syrienne. Plusieurs témoignages de salariés locaux, dont "L'Express" a eu connaissance, accablent l'entreprise.
Numéros de page :
pp.38-41

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Plusieurs associations et 11 anciens employés du groupe en Syrie poursuivent le leader mondial des matériaux de construction pour "financement d'entreprise terroriste", "complicité de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité", "mise en danger délibérée d'autrui", mais aussi pour "travail forcé et réduction en servitude". Ils accusent également l'Etat français d'avoir encouragé Lafarge à poursuivre son activité dans la région à tout prix... quitte à verser un tribut à l'Etat islamique !
Numéros de page :
pp.8-11

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Bulletin : L'Express
Documents longtemps introuvables, perquisitions menées dans une ambiance explosive... L'Express le révèle : une plainte a été déposée contre X pour entrave à la justice dans l'affaire des sommes versées à Daech par le leader mondial du ciment.
Numéros de page :
pp.44-47

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Date parution pério
2024-09-07
Dans un nouveau formidable récit documentaire, Justine Augier épingle les agissements du cimentier Lafarge en Syrie. Et poursuit ainsi son combat contre le cynisme et l'indifférence.
Numéros de page :
pp.52-53

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Bulletin : L'Obs 2971
Date parution pério
2021-09-30
Le cimentier français est soupçonné d'avoir financé des groupes djihadistes, dont l'Etat islamique, pour que son usine syrienne puisse rester ouverte. Un ex-salarié sorti de son silence a expliqué aux juges que le site a été maintenu en exercice pour servir de base aux services occidentaux. Une thèse qui fait débat.
Numéros de page :
pp.53-55