Enseigner les langues vivantes dès le primaire suppose que les professeurs d'école soient formés à l'IUFM. Devant les insuffisances en moyens formatifs et les disparités des niveaux en langue des futurs maîtres, la solution peut-elle être le recours à l'autoformation accompagnée ?

Sommes-nous vraiment nuls dans l'apprentissage et la pratique des langues étrangères ? Et si oui, à qui la faute ? A l'école ? A un manque de don naturel ? A un certain nombrilisme culturel ? Les spécialistes répondent...

Sortir de l'université en maîtrisant deux langues ? Et le prouver ? C'est la mission du tout nouveau certificat en langues de l'enseignement supérieur, expérimenté sur cinq sites.

"Les Scandinaves, les Néerlandais, les Allemands "bons en anglais" ! Allons donc ! Il s'agit de bien autre chose, il s'agit d'une motivation liée au désir de survie qu'est le désir de communiquer.

On n'apprend pas l'anglais comme on apprend l'allemand ou l'espagnol. Mais au-delà des différences méthodologiques, à l'heure où les frontières s'ouvrent, la connaissance culturelle des pays étrangers revêt une importance de plus en plus grande, que l'enseignement des langues doit désormais intégrer.

Pourquoi se contenter d'étudier une seule langue à l'école primaire alors qu'en matière linguistique l'étendue des possibles est immense ? C'est l'opinion d'Isabelle Limami, professeure dont les élèves s'initient à une vingtaine de langues.

Listen and repeat... Les parents écoutent les promesses. Les ministres les répètent. Mais la plupart des élèves du primaire balbutient toujours.

Quelles langues faudra-t-il parler dans vingt ans ? L'espagnole, le chinois, le russe, l'hindi ou le turc ? Quelles stratégies adopter aujourd'hui en vue du monde globalisé de demain ?

La didactique communicative, qui s'est inscrite dans une optique pragmatique de l'enseignement des langues, s'appuie sur le concept de compétence de communication. Quelles en sont les caractéristiques ?