Le Fils de Saul
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Auteurs
Lorrain, François-Guillaume Auteur du texte
Bulletin : Le Point 2251 - octobre 2015
Dans vingt ans, on parlera encore du "Fils de Saul", Grand Prix au dernier Festival deCannes. Voici pourquoi.
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Bulletin : L'Express 3356 - octobre 2015
Comment représenter le génocide des juifs d'Europe à l'écran ? Jusqu'à présent, les oeuvres de fiction qui prenaient place au sein des camps de concentration provoquaient immanquablement des polémiques. « Le Fils de Saul », couronné à Cannes et unanimement salué, change la donne. Explications.
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Numéros de page :
6 p. / p. 78-83
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Auteurs
Kaganski, Serge Auteur du texte
Bulletin : Les Inrockuptibles 1040 - novembre 2015
Avec son premier long métrage, « Le Fils de Saul », le Hongrois Laszlo Nemes propose une vision immersive inédite de l'extermination des Juifs. Un parti pris fort qu'il assume posément.
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Bulletin : Études 4221 - novembre 2015
Titres recensés : "Seul sur Mars" de Ridley Scott ; "Notre petite soeur" de Hirokazu Kore-eda ; "Le fils de Saul" de Laszlo Nemes ; "Les yeux brûlés" de Laurent Roth ; "L'image manquante" de Rithy Panh" ; "Le Caravage" d'Alain Cavalier ; "L'homme irrationnel" de Woody Allen ; "Madame Bovary" de Sophie Barthes ; "L'étage du dessous" de Radu Muntean ; "The Lobster" de Yorgos Lanthimos.
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Numéros de page :
8 p. / p. 111-118
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Auteurs
Aubel, Damien Auteur du texte
Bulletin : Transfuge 91 - octobre 2015
Retenez ce nom : Laszlo Nemes. Un premier long métrage à son actif et déjà un chef-d'oeuvre : "Le Fils de Saul", Grand Prix de Cannes millésime 2015. Ou comment il est seulement possible de filmer la Shoah, mais aussi de la filmer autrement. Rencontre-fleuve avec le réalisateur hongrois.
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Numéros de page :
8 p. / p. 84-91
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Auteurs
Baecque, Antoine de (1962-....) Auteur du texte
Bulletin : <>Histoire 416 - octobre 2015
Laszlo Nemes livre un film puissant et juste, au coeur d'Auschwitz.
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Auteurs
Golhen, Gaël Auteur du texte
Bulletin : Première 465 - novembre 2015
Annoncé comme le choc du dernier Festival de Cannes, "Le Fils de Saul" en est reparti avec le Grand Prix et sort en salles aujourd'hui. Une expérience viscérale ? C'est ainsi qu'en parle son réalisateur. Laszlo Nemes, qui refuse d'intellectualiser les représentations de la Shoah.
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Bulletin : Positif 657 - novembre 2015
Comment montrer L'"inmontrable" , filmer l' "infilmable" ? En répondant à ces questions, Laszlo Nemes s'est lancé dans un premier film fulgurant qui résout d'un geste de cinéma l'unité du fond et de la forme. Immergé dans l'enfer d'un camp de concentration, le Sonderkommando Saul constitue un lien terrifiant entre bourreaux et victimes. Pour tenter de surmonter ce qu'il voit et ce qu'il entend autour de lui, il s'assigne un objectif qui devient une obsession. En filmant cet acte de survie, le cinéaste conjugue la subjectivité du point de vue à l'hyperréalisme de la représentation.
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Auteurs
Eisenreich, Pierre Auteur du texte
Bulletin : Positif 658 - décembre 2015
Réflexions de Pierre Eisenreich à propos de la réprésentation cinématographique des crimes de masses à l'occasion de diverses sorties de films au cinéma ou en dvd à l'automne 2015.
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Auteurs
Delmotte, Benjamin Auteur du texte
Bulletin : Esprit 420 - décembre 2015
La représentation cinématographique des camps - et particulièrement du processus d'extermination pose un indéniable problème éthique, en plaçant l'art au risque de ce que Rivette, dans un article demeuré célèbre, a désigné comme une "abjection", dès lors que la mise en scène sombre dans la simplification réductrice et l'esthétisation. Au point que la question de la représentabilité même de l'expénence concentrationnaire ne peut pas ne pas se poser au réalisateur.
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Numéros de page :
3 p. / p. 134-136
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Auteurs
Tessé, Jean-Philippe Auteur du texte
Bulletin : Cahiers du cinéma 716 - novembre 2015
Il est difficile, presque impossible d'écrire sur "Le Fils de Saul" aujourd'hui, cinq mois après sa présentation à Cannes (où il a reçu le Grand Prix) sans avoir en tête cette phrase prononcée par Laszlo Nemes lors du festival , et rapportée dans notre numéro de juin : "On est dans son siège, en immersion. On vit l'expérience sans se poser de questions, et c'est ça le plus important."
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Auteurs
Azalbert, Nicolas Auteur du texte
Bulletin : Cahiers du cinéma 728 - décembre 2016
Dans "Retour au noir", Alain Fleischer répond directement à "Sortir du noir", l'éloge du "Fils de Saul" par Georges Didi-Huberman. Et repose la question de la fictionnalisation de la Shoah.
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Numéros de page :
1 p. / p. 58