Avec son discours sur le Brexit du 17 février 2017, la Première ministre britannique a adopté la ligne dure. Et elle a bien raison sur tous les fronts, économique comme géopolitique.

La chef du gouvernement écossais, Nicola Sturgeon, a annoncé le 13 mars 2017 son intention d'organiser un nouveau référendum sur l'indépendance de l'Ecosse, alors que Theresa May s'apprête à enclencher la procédure du Brexit. Un coup de poker risqué, juge ce quotidien pro-indépendance.

Plus de deux cents jours après son accession à la tête du gouvernement britannique, Theresa May, qui doit engager son pays sur la voie du divorce d'avec l'Union européenne, suscite toujours autant la perplexité.

Theresa May a annoncé le lancement de la procédure de sortie de l'Union européenne le 29 mars 2017. Les choses sérieuses débutent.

Loin de consolider son soutien en amont du Brexit, la Première ministre n'a obtenu que 318 des 650 sièges aux législatives anticipées du 8 juin 2017, perdant ainsi sa majorité absolue. Alors que le Labour a progressé, contre toute attente, une remise en question s'impose pour le Parti conservateur. Sommaire. Le pari raté de Mme May. L'improbable renouveau socialiste. L'indépendance écossaise au point mort.