Brexit. Le nouveau Premier ministre britannique est une "thatchérienne" sociale.

Coulisses. Theresa May vient de déclencher les négociations de divorce avec l'Union européenne. Enquête sur les hommes et femmes de l'ombre qui ont entamé un bras de fer avec Bruxelles.

Si Hillary Clinton est élue, elles seront trois. Trois femmes parmi les dirigeants des six pays les plus puissants du monde. Une situation historique et porteuse d'espoirs. Sommaire. Le dessein de Hillary Clinton. Theresa May héroïne malgré elle. La superpuissance d'Angela Merkel. L'érection du sexe faible.

Après le chaos provoqué par le Brexit, les hommes ont jeté l'éponge. Theresa May succède à David Cameron au poste de Premier ministre. La « reine de glace » sera-t-elle une nouvelle Dame de fer ?

Souvent comparée à Angela Merkel, la ministre de l'intérieur devient première ministre du Royaume-Uni

Theresa May doit compter avec l'opposition de l'Ecosse, qui réclame un référendum sur son indépendance

A Londres, la Première ministre engagera son pays le mois prochain sur la voie du divorce avec l'UE. Avec un peu de conviction. Et beaucoup d'opportunisme.

La Première ministre britannique n'a peut-être pas une grande vision politique, mais son calme et son sens du devoir semblent être exactement ce dont le pays a besoin en ce moment.

La Première ministre Theresa May veut relancer les grammar schools, des écoles publiques sélectives abandonnées par les travaillistes dans les années 1990. Une question qui divise les conservateurs.

Dans son discours du 5 octobre 2016, Theresa May a semblé donner la priorité au contrôle des frontières plutôt qu'au marché commun européen et a annoncé le lancement de la procédure dès mars 2017. Des éléments qui font craindre à certains un Brexit "dur".

Qu'il s'agisse du Brexit ou d'autres dossiers, la Première ministre britannique manque de détermination, considère "The Economist" dans un article très remarqué outre-Manche.