Nos collaborateurs Mathieu Olivier et Benjamin Roger retracent, dans une BD-documentaire aussi imposante que saisissante, "l'histoire secrète" du groupe paramilitaire russe, particulièrement actif en Afrique.

En l'espace de quelques décennies, le mercenariat est passé de l'atelier à l'usine, d'une forme d'"artisanat de l'aventure" à un business tenu par de grosses compagnies privées traitant avec des Etats. Les Russes de Wagner sont aujourd'hui l'exemple le plus connu. Mais le phénomène existe aussi ailleurs dans le monde. Sommaire. La guerre privatisée à l'échelle industrielle My mercenaire is not rich anymore. De l'armée française à la contre-piraterie en Somalie, itinéraire d'un "contractor".

A l'approche du premier tour, une opération d'influence russe est en cours. A la manoeuvre : la Fondation pour combattre l'injustice. Derrière cette ONG fantoche traitant des violences policières, Evgueni Prigojine, l'homme des mercenaires de Wagner. "Marianne" dévoile les relais français avec qui cette organisation a tenté d'entrer en relation.

Il était le témoin le plus attendu au procès des "biens mal acquis", à Paris. Des diamants sierra-léonais au pétrole angolais, des geôles zimbabwéennes à la prison de Black Beach, l'ex-mercenaire dévoile en exclusivité son parcours interlope. Entretien.

L’attaque américaine à Deir Ez-Zor début février 2018 a révélé la présence de nombreux mercenaires russes en Syrie. Un site moscovite nous en dit plus sur ces mystérieux volontaires russes.

Ils sont Tchadiens ou Soudanais et s’achètent pour une bouchée de pain au "grand bazar des mercenaires au rabais". En banlieue de Tripoli, les migrants subsahariens sont embauchés pour combattre sur le front libyen.

Elle s’appelle Wagner et suscite de nombreux fantasmes. Cette société privée russe envoie ses mercenaires combattre en Afrique. Une présence discrète sur laquelle "Le Temps" a mené l’enquête.