Migration
Article
Bulletin : XXI Automne 2024
Date parution pério
2024-09-01
Chaque année, des millions de papillons monarques migrent du sud du Canada et du nord-est des Etats-Unis pour hiverner dans les forêts montagneuses du centre du Mexique. Le photographe canadien Brendan George Ko a documenté en 2020 cette migration de 5 000 kilomètres, la plus longue connue pour un insecte. Depuis une vingtaine d'années, plusieurs facteurs naturels et humains font chuter la population des monarques. Mais ses défenseurs peinent à mobiliser autour de son cas.
Détails
Numéros de page :
pp.68-87
Article
Auteurs
Nazarenko, Hugo null
Bulletin : Géo juillet 2024
Date parution pério
2024-07-01
Espoir dans la plus grande aire protégée de Méditerranée, le sanctuaire Pelagos, où des dizaines de cétacés périssent chaque année après une collision avec un bateau. Pour ne plus risquer de leur couper la route, les navires peuvent désormais s'aider d'un logiciel indiquant où se déplacent les animaux.
Détails
Numéros de page :
pp.80-85
Article
Auteurs
Truong, Anh Hoà null
Bulletin : Wapiti février 2025
Date parution pério
2025-02-01
Tous les automnes, les papillons monarques s'envolent pour un périple de 4 000 kilomètres. Ils fuient le froid du Canada ou des États-Unis et vont passer l'hiver au Mexique. Pour parcourir de telles distances, les papillons « surfent » sur les courants atmosphériques, ces énormes masses d'air qui circulent en continu à la surface de notre planète. Malheureusement, ces papillons marathoniens sont menacés.
Article
Auteurs
Bolakhe, Saugat null
Bulletin : Courrier international 16 janvier 2025
Date parution pério
2025-01-16
Cartographier le parcours des papillons grâce aux grains de pollen piégés sur leur corps ? Une idée poétique qui a porté ses fruits.
Article
Auteurs
Rouat, Sylvie null
Date parution pério
2025-02-01
Limitation de la vitesse des navires, déplacement des routes maritimes, création de zones de protection, nouvelles technologies faisant appel à l'intelligence artificielle... les solutions se multiplient pour éviter les accidents avec les cétacés, devenus première cause de mort non naturelle chez ces espèces vulnérables.