Ce n'est plus une nouvelle pour qui que ce soit, la bise est à proscrire en temps de Covid-19. Mais qu'en sera-t-il, une fois la pandémie derrière nous ? Faudra-t-il - et pourra-t-on - l'abandonner définitivement ? Réponse en 4 points.

Si le Covid-19 tue, il transforme également le quotidien. De trop faibles capacités hospitalières face à la pandémie ont en effet imposé de rompre avec certaines habitudes. En Argentine, la journée est scandée par le partage – en famille, au travail, entre amis – d’une infusion, le maté, dans un rituel que la maladie a menacé. Un temps seulement...

Cultes nocturnes et musique syncopée : au Brésil, esclaves et descendants d’esclaves ont inventé des rythmes capables de bousculer l’hégémonie du temps des maîtres.

Léo, 12 ans, raconte : "Je suis né à Ottawa, la capitale du Canada, et j'ai vécu 11 ans dans ce pays avant que nous nous installions à Amman. Nous sommes venus ici pour le travail de mon père, qui travaille à l'ambassade du Canada en Jordanie. Parmi les choses qui m'ont marqué depuis mon arrivée ici, il y a le climat : il fait très chaud et il ne pleut presque pas. C'est un grand changement par rapport au Canada !"

Elvira, 12 ans, habite sur l'île norvégienne de Vaeroy. elle raconte son quotidien un peu spécial.

Décrouvre comment Uyanga, 15 ans, passe ses vacances... Tu verras, ce n'est sans doute pas très reposant, mais l'ado passe des vacances inoubliables !

Sencha, 16 ans, habite à Rennes, en Bretagne. Il y a 2 ans, c'est elle qui a donné à sa famille l'idée de repartir au Québec (ils y étaient déjà allés plusieurs fois, dont une année quand elle avait 3 ans). Ses parents y ont réfléchi. Sa mère a rapidement adopté le projet, mais son père a mis un peu plus de temps. Ils ont préparé le voyage pendant 6 mois. Tout le monde a un peu participé. Elle a préparé sa chambre et un peu la maison avant le départ. Ils la louaient pendant leur absence et il fallait mettre des choses dans des cartons.