Une étude montre que des neurones poursuivent leur migration pendant les tout premiers mois de la vie. Ces nouveaux neurones jouent probablement un rôle dans les mécanismes de plasticité qui permettent l'apprentissage.

Lorsque nous percevons quelque chose de nouveau, nous ne pouvons nous empêcher d'y reconnaître des concepts déjà présents dans notre mémoire. C'est cette démarche analogique qui nous permet de comprendre le monde.

Les récepteurs du goût amer ne se trouvent pas seulement sur la langue. Présents dans tout l'organisme, ils forment ... une première ligne de défense contre les infections !

Le mécanisme neuronal par lequel les chauves-souris se représentent leur destination pendant le vol vient d'être mis au jour. Selon la position de l'animal par rapport à son but, des neurones spécifiques s'activent.

Ecouter de la musique ou pratiquer un instrument améliorent les performances cognitives.

La séduction est un phénomène universel. Même les animaux s'y adonnent avec force diversité et raffinements. Chez les humains, elle est présente dans tous les domaines de la communication tout en portant la marque des cultures et des époques dans lesquelles elle s'inscrit. Psychologues, sociologues, historiens, s'efforcent de mieux cerner la séduction amoureuse dans ses multiples avatars : sur Internet ou dans la rue, de l'amour courtois au speed-dating, dans les discours ou dans les gestes, dans notre corps ou nos souvenirs... Car pour séduire, l'imagination humaine est intarissable !

L'oeuvre du neurophysiologiste Alain Berthoz éclaire d'un jour nouveau les rapports entre pensée et action. Adepte de l'interdisciplinarité, il n'a jamais cessé de dialoguer avec la phénoménologie de Husserl ou de Merleau-Ponty, dont beaucoup d'intuitions sont aujourd'hui confirmées par les neurosciences.