Si un Français en déplacement à Davos avait déclaré « France is back » il y a deux ans, il aurait soulevé les moqueries. Depuis quelques mois, dire que la France est de retour n'attire plus les quolibets mais les applaudissements. Ne boudons pas notre plaisir quand nous voyons le président de la République française s' exprimer devant des chefs d'État, des ministres, les présidents des plus grandes compagnies internationales et recueillir les applaudissements de toute l'assistance. C'est le retour de la France que l'on salue.

L'ancienne ministre de l'Environnement propose de mener une liste rassemblant la gauche de gouvernement et les écologistes aux prochaines élections européennes. Yannick Jadot, patron d'EELV, et l'ex-socialiste Hamon ont déjà dit non. Mais la candidate de 2007 s'obstine, non sans calculs...

Pour tout pays, la présidence tournante du Conseil des ministres de l'Union européenne, même quelque peu vidée de sa substance depuis le traité de Lisbonne (1), est à la fois un motif de fierté et une source de défis. Cela ne pourrait être plus vrai pour la Bulgarie. Pays membre depuis 2007, la Bulgarie débute cette année avec une présidence dont la préparation fut parsemée d'embûches. Première embûche : le fameux Brexit, qui conduisit l'Union européenne à avancer la présidence d'un semestre en remplacement de celle du Royaume-Uni.

Les démissions du chef de la diplomatie Boris Johnson et du ministre en charge du Brexit David Davis ont provoqué une crise majeure en Grande-Bretagne. Analyse.

Le chanteur mène la liste "Alliance jaune, la révolte par le vote" aux élections européennes. Chronique d'une campagne à nulle autre pareille.