Le ministre délégué chargé de l'Europe dresse pour "L'Express" le bilan de l'action française au sein des Vingt-Sept.

Malgré les efforts de l'Union européenne pour surmonter la crise du Covid ou venir en aide à l'Ukraine, les partis nationalistes progressent. Particulièrement en France, où la macronie risque d'essuyer une humiliante défaite au bénéfice du RN. Emmanuel Macron, engagé dans la campagne, peut-il changer la donne ? Quelles seront les conséquences du scrutin du 9 juin 2024 ? Bilan et analyses. Sommaire. Des élections sous tensions. Parlement. La menace nationale-populiste. Ursula von der Leyen, comme l'ombre d'un doute. Le pacte vert en zone de turbulences.

Emmanuel Macron se veut le champion de l'"autonomie stratégique" de l'Europe. Mais sa politique envers Pékin, qui évite les sujets sensibles, brouille son message et dessert son ambition. Le reportage se conclut par l'interview de Sébastien Jean qui déclare : "La Chine politise ses relations économiques".

Participant pleinement au rayonnement de l'Union européenne, l'édition ne bénéficie pas d'une véritable politique culturelle. L'interprofession multiplie les initiatives de coopérations transnationales et cherche à faire entendre sa voix à la veille des élections européennes. Sommaire. Quelle Europe pour le livre ? Chantiers en cours. Europe créative, tout un programme. Un pour tous et tous européens ! Dossier. Pas de chiffres.

Des émeutes ont éclaté en Irlande du Nord au cours du printemps 2021, notamment dans les quartiers unionistes, fidèles à Londres. Depuis le vote en faveur du Brexit, en 2016, la nation nord-irlandaise se trouve au centre des négociations avec Bruxelles. Avec un grand vainqueur : le camp favorable à la réunification, dont les espoirs ont été ravivés par la rouerie du premier ministre Boris Johnson. Présence d'un second article "En maraude avec les nationalistes à Derry".

À cinq mois des législatives d’octobre 2024, ce site d’information polonais fait le bilan des longues années de pouvoir de Rêve géorgien. Engagé sur le chemin de l’adhésion à l’UE, ce parti tente de relativiser l’inflation galopante et ne s’intéresse guère à l’émigration, pourtant massive.

Pour qu’ils retiennent à tout prix les migrants, le Vieux Continent subventionne grassement les pays du pourtour méditerranéen à qui il a délégué le contrôle de ses frontières. Un reportage mené en Libye dans les conditions les plus difficiles dévoile la face cachée de cette hypocrisie.

Pour la gauche européenne, c’est l’hiver. Loin des espoirs suscités par leurs débuts, les nouvelles formations critiques envers la social-démocratie, Podemos en Espagne et Die Linke en Allemagne, sont elles aussi affaiblies, tandis qu’en Italie la disparition du Parti communiste, en avril 1991, a laissé le camp progressiste sans boussole. Incapable d’écouter les aspirations populaires et de tirer profit du mécontentement général, la gauche s’enferme souvent dans un discours où le pathos le dispute à la mièvrerie.

A la tête d’une coalition sans identité politique, le nouveau chancelier allemand Olaf Scholz devra résoudre une série de contradictions que sa prédécesseure avait habilement contournées : les vues divergentes de Paris et de Berlin sur l’Europe et sur la sécurité ; le rapport avec la Chine et la Russie, clients et fournisseurs indispensables mais adversaires sur le plan des valeurs...