L'économiste Daniel Cohen a lu le livre de Jean Peyrelevade. Il partage sa critique sévère de la politique économique du président : ou l'art de faire les mêmes erreurs que la gauche...

Dans un livre acide, Jean Peyrelevade accuse la caste des hauts fonctionnaires.

Face à Bruxelles, le gouvernement français renie ses promesses en agitant l'étendard nationaliste. Mais pour le président du Crédit lyonnais, il s'agit d'abord de garder le pouvoir.

Tous deux aiment Marseille, le pouvoir, le foot et le vélo. mais pour le reste, tout oppose le parrain de l'establishment et son pourfendeur. Portrait croisé de deux fortes têtes.

On croyait que la déconfiture de la banque coûterait vingt milliards. Ce n'était qu'un hors-d'oeuvre. Ce sera plus du double. La nouvelle a déclenché une panique dans les cercles gouvernementaux. Récit.

Bon courage, Jean Peyrelevade ! Le nouveau patron du Crédit lyonnais occupe depuis vendredi un fauteuil brûlant : son prédécesseur et son fidèle lieutenant Jean-François Henin ont engagé la première banque française dans une stratégie flamboyante et... risquée.

En vendant au groupe BNP-Paribas la dernière participation qu'il détenait encore dans l'ex-banque publique, Bercy rafle une belle mise.

Même dans l'hypothèse la plus favorable, on ne parviendra pas à éviter des politiques de rigueur. Quant au pire, il n'est pas exclu.