La répulsion entre les produits d'une réaction nucléaire indique la durée de vie des noyaux.

La synthèse de l'élément 114 a confirmé des prévisions théoriques vieilles de plusieurs décennies : un îlot de stabilité nucléaire existe au milieu de la mer des noyaux superlourds à courte durée de vie.

Une fonction introduite par la mathématicien Bernhard Riemann à propos des nombres premiers a d'étonnantes correspondances en physique. Ces coïncidences reflètent-elles une loi de l'Univers encore inconnue ?

Dans le bestiaire des noyaux atomiques qui composent la matière, à côté de ceux dont l'âge avoisine celui de l'univers lui-même, certains s'avèrent si éphémères que leur détection relève encore du défi technologique. Or ces noyaux dits exotiques exhibent souvent des propriétés différentes de celles de leurs cousins plus ordinaires...

La structure particulière du noyau atomique de l'étain 100 en fait un candidat précieux pour tester la théorie nucléaire. Des expériences récentes ont permis de produire ce noyau et de mesurer certaines de ses propriétés.

Aplati, en poire, plutôt liquide, avec un halo... : le noyau des atomes présente toute une variété de formes et d'états. Une diversité que les physiciens commencent à expliquer.

A la fois élastiques et rigides, les noyaux des atomes sont des ressorts microscopiques : ils vibrent et entrent en résonance.

On pense aujourd'hui que les constituants ultimes de l'atome sont, en dehors de l'électron, des particules qu'on appelle des "quarks". leur existence avait été prédite par une théorie physique de 1963. Ils sont considérés comme étant notamment les constituants des protons et des neutrons qui sont eux-mêmes les constituants des noyaux des atomes.

Ils sont plusieurs milliards à nous traverser chaque seconde, les neutrinos sont envahissants et pourtant, ils sont presque insaisissables. Le prototype des détecteurs de la future expérience DUNE vient néanmoins d'enregistrer ses premières traces de particules