Avec ″Adieu Berthe″, Bruno Podalydès signe une comédie macabre. Et le meilleur film de sa carrière.

Portrait d'époque en forme de mosaïque de petites et grandes histoires, entre Sempé et Perec

Sonnez hautbois, Bruno Podalydès est de retour en très grande (et renoirienne) forme avec "Comme un avion".

Dans "Comme un avion", le réalisateur Bruno Podalydès tient pour la première fois le premier rôle dans un de ses films Il partage l'affiche avec son frère Denis, Agnès Jaoui, Sandrine Kiberlain et Vimala Pons.

A 48 ans, Bruno Podalydès a décidé d'en finir avec l'adolescence. Dans Bancs publics, dernier épisode de sa trilogie des gares, il délaisse l'univers estudiantin, les jobs précaires et les longues vacances pour plonger dans le monde du travail, le vrai. Loin des campus, les personnages gardent leur innocence, les situations leur drôlerie, les dialogues leur charme

Titres recencés : "La Tête haute" d'Emmanuelle Bercot ; "Comme un avion" de Bruno Podalydès ; "Loin de la foule déchaînée" de Thomas Vinterberg ; "La Loi du marché" de Stéphane Brizé ; "Cendres" d'Idrissa Guiro et Mélanie Pavy ; "L'Ombre des femmes" de Philippe Garrel ; "Contes italiens" de Paolo et Vittorio Taviani ; "Il était une fois en Amérique" de Sergio Leone.