Dans les films français, les gays s'habillent normalement, ont un vrai métier et ne cassent pas leurs biscottes en essayant de les beurrer comme dans "la Cage aux folles". Pourtant, ils restent, toujours, désespérément sympas. Un dernier reliquat homophobe ? PAR

Dans un essai provocateur, le docteur en philosophie Bourahima Ouattarra accuse plusieurs auteurs contemporains de perpétuer, par calcul, une imagerie dégradante des Noirs. Et lance un gros pavé dans la marre littéraire.

Célèbre depuis son départ de Google, en 2020, la chercheuse américaine est devenue le porte-voix d’un combat contre les biais racistes, sexistes et sociaux véhiculés par les programmes d’IA.

« Ne nous libérez pas, on s'en charge » pourrait être le slogan de l'autodéfense féministe. Si la plupart des femmes qui s'inscrivent à ces cours encore assez confidentiels pensent y acquérir quelques méthodes issues des arts martiaux pour faire face aux agressions, elles en ressortent surtout dotées d'une puissance bien plus grande, à la fois collective et politique.

Sur fond de discriminations persistantes, beaucoup se sentent otages de leur prénom tant calomnié. Mais ils tiennent enfin un début de revanche.

Les difficultés d'intégration dans le monde du travail des populations en provenance du Maghreb ou de l'Afrique noire sont l'objet d'une vive attention. Comment surmonter ces difficultés ? Quelles mesures prendre pour au moins réduire l'ampleur du phénomène, en espérant aboutir à y mettre fin ? La réponse à donner à ces questions dépend bien sûr de la compréhension que l'on a de la situation que nous vivons...

Les premiers représentants du genre "Homo", apparus il y a 2,8 millions d'années, ne vivaient pas dans une période aussi violente qu'on l'imagine. En complément, un article intitulé "Les mystères de l'art préhistorique".

Chaque week-end, les membres du premier club indien de motocyclisme féminin sillonnent, sur des deux-roues mythiques, les routes du pays. Au-delà des sensations fortes, ces motardes revendiquent leur droit à l'aventure et à l'autonomie. Un défi dans une société patriarcale.

Ce n'est pas du racisme ni de l'antisémitisme pleinement ouverts et assumés qu'il sera question dans ce dossier. En effet, ceux-ci sont de toute évidence condamnables et ne prêtent guère au débat. Nous nous pencherons sur les cas ambivalents : compter les Noirs dans la salle en pleine cérémonie des César ou tempêter contre le voile, est-ce du racisme Et surtout : est-il encore possible de prôner une position nuancée, de faire dialoguer universalisme et communautarisme ? Sommaire. La ligne rouge a bougé. Peut-on encore rire (jaune) de l'humour (noir) ?