Raillés et méprisés depuis toujours, les "rednecks" sont pour beaucoup dans le succès de Donald Trump. Leur histoire aide à décoder l'actuelle campagne présidentielle.

Souffrant d'une pneumonie, la candidate démocrate se voit désormais fragilisée par ce qui semblait jusqu'ici relever de la rumeur propagée par les républicains : ses problèmes de santé.

L'attentat de New York, le 17 septembre 2016, réveille les angoisses des Américains liées au terrorisme. Et c'est le candidat républicain qui pourrait tirer parti de la situation, estime ce chroniqueur.

Le 26 septembre 2016, le premier débat télévisé de la campagne présidentielle a clairement tourné à l'avantage de la candidate démocrate.

Le magnat de l'immobilier a déclaré de lourdes pertes en 1995, qui lui auraient évité de payer des impôts durant de nombreuses années. Des révélations du "New York Times" qui pourraient coûter cher au candidat Trump.

Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2017, "l'éléphant" propose une analyse avec une focale éloignée, située aux Etats-Unis.

Le mensonge sur son état de santé ravive les autres "affaires" de la candidate démocrate : celle de ses e-mails, de sa fondation et de sa gestion de l'attaque de Benghazi en 2012.

A moins d'un mois de l'élection du 8 novembre 2016, un nom semble s'imposer pour occuper le bureau ovale de la Maison-Blanche : celui d'Hillary Clinton. Malgré une campagne poussive et la méfiance qu'elle suscite chez beaucoup de ses compatriotes la candidate démocrate apparaît désormais comme la seule option crédible face à un Donald Trump en pleine déconfiture et lâché par une partie de son camp. En dépit du sexisme toujours présent dans la société américaine, Hillary Clinton pourrait bien devenir la première présidente des Etats-Unis. Sommaire. Hillary Clinton ou l'obsession du secret.

La publication le 7 octobre 2016 d'une vidéo montrant Trump tenir des propos outranciers sur les femmes a suscité un tollé jusque dans les rangs des républicains. Mieux vaut tard que jamais, ironise cet éditorialiste conservateur.

Alors que les scandales et révélations chocs se multiplient, le candidat républicain s'estime victime de complots en tous genres, allant jusqu'à dénoncer des fraudes électorales.

La nouvelle enquête du FBI au sujet de ses e-mails n'empêchera peut-être pas la candidate de remporter l'élection, mais le doute jeté sur sa probité pourrait bien empoisonner le début de son mandat si elle devient présidente.

Les questions de société comme celles qui ont émaillé l'élection américaine ne semblent pas intéresser les Arabes, selon de nombreux commentateurs. Ils oublieraient leurs liens d'interdépendance avec le reste du monde.