Exercer ce métier- « impossible » selon Freud- de psychanalyste, c'est tendre son oreille et ses perceptions vers la présence de l'inconscient, vers les ressorts de la créativité, vers les modalités - étranges parfois - de la survie psychique. Supposons que cette orientation de l'attention infiltre tout le rapport au monde, aux autres, à l'art et à la littérature, au politique... Nos lecteurs discerneraient et partageraient peut-être, dans cette page «Lecture de psychanalyste», à paraître un numéro sur deux, ce cheminement particulier.

Né dans une famille juive analphabète, Maurice Olender est devenu historien, philologue et l'incomparable éditeur de "la Librairie du XXIe siècle". Le psychanalyste Fethi Benslama a lu pour "l'Obs" "Un fantôme dans la bibliothèque".

Exercer ce métier- «impossible» selon Freud - de psychanalyste, c'est tendre son oreille et ses perceptions vers la présence de l'inconscient, vers les ressorts de la créativité, vers les modalités - étranges parfois - de la survie psychique. Supposons que cette orientation de l'attention infiltre tout le rapport au monde, aux autres, à l'art et à la littérature, au politique... Nos lecteurs discerneraient et partageraient peut-être, dans cette page à paraître un numéro sur deux, ce cheminement particulier.

Exercer ce métier- «impossible» selon Freud - de psychanalyste, c'est tendre son oreille et ses perceptions vers la présence de l'inconscient, vers les ressorts de la créativité, vers les modalités - étranges parfois - de la survie psychique. Supposons que cette orientation de l'attention infiltre tout le rapport au monde, aux autres, à l'art et à la littérature, au politique ... Nos lecteurs discerneraient et partageraient peut-être, dans cette page à paraître un numéro sur deux, ce cheminement particulier.

Exercer ce métier - "impossible" selon Freud - de psychanalyste, c'est tendre son oreille et ses perceptions vers la présence de l'inconscient, vers les ressorts de la créativité, vers les modalités - étranges parfois - de la survie psychique. Supposons que cette orientation de l'attention infiltre tout le rapport au monde, aux autres, à l'art et à la littérature, au politique ... Nos lecteurs discerneraient et partageraient peut-être, dans cette page à paraître un numéro sur deux, ce cheminement particulier. Dans ce numéro, "Des éléphants", par Michael Larivière.

Aux Editions du Chemin de fer a été publié tout récemment, sur pages bleues, un texte inédit de Claude Simon : "La Séparation", pièce présentée à Paris en 1963, au Théâtre de Lutèce, dans une mise en scène de Nicole Kessel. En pleine querelle du Nouveau Roman, Minuit avait refusé de publier ce texte de la seule pièce de théâtre que Claude Simon ait écrite : c'est à présent réparé.

Monique de Lagontrie, psychanalyste, interroge son confrère, Paolo Lollo à propos de son ouvrage "Passages secrets de la psychanalyse".

Il faut lire « La Logique et l'Amour et autres textes », de Catherine Millot, réédition d'un ensemble d'articles paru en 2015, auquel sont adjoints deux inédits, nouant expérience analytique, expérience littéraire et expérience intérieure pour affirmer le droit de « penser sans boucher les trous de l'univers », pouvoir étirer le temps et la solitude, écouter ce qui en chacun murmure.; un savoir que la mémoire porte mais que les discours dominants effacent.

Que le revenant revienne, quoi de plus normal ? Le fantôme est fidèle. Il hante, inlassable, mêmes lieux et mêmes gens ; ou, à défaut, leurs descendants. Du reste, à quoi le reconnaîtrait-on s’il ne revenait pas ? Aussi n’est-ce pas ce retour-là qu’interrogent les quinze auteurs, venus d’horizons très divers, réunis dans ce numéro spécial : c’est la hantise généralisée qui caractérise notre époque. Les fantômes ont la vie dure, nous le savions. Mais pouvions-nous deviner qu’en ce début du XXIe siècle ils investiraient tout le domaine de l’humain ?