Au-delà des clivages sociologiques et religieux, les débats actuels autour de la fin de vie traduisent en partie les mutations de notre propre rapport à la mort. Si nos sociétés tendent à la tenir à l’écart de notre quotidien, nos défunts n’en restent pas moins présents dans nos vies et nos esprits. Ce numéro du "1" explore cette tension existentielle, pour mieux comprendre comment vivre avec la mort. Sommaire. Une question vitale, éditorial. Dans la dignité, l'éclairage de la philosophie Cynthia Fleury.

Fêter une année supplémentaire représente un calvaire ? Analyser ce que cela réveille - angoisse, traumatisme enfoui, confiance émoussée - concourt à la réconciliation... entre soi et soi. Explications.

Il y a la réalité... et la perception que nous en avons. Ainsi, alors que les inégalités explosent depuis 30 ans, les enquêtes montrent que les individus les sous-estiment systématiquement. Une étrange "cécité" qui trouve son origine dans notre cerveau : des biais cognitifs nous empêchent de regarder la réalité en face. Ce qui, in fine, la renforce...

San Antonio de los Baños est connu pour son musée et sa biennale de l’humour. Mais face à la crise économique, ses habitants ne rient plus.

Les lève-tôt se révèlent plus heureux, plus riches et en meilleure santé que les autres, mais les couche-tard ont plus de succès en amour.

Une nation qui a enfanté Mickey Mouse et Charles Manson peut-elle vraiment être saine d'esprit ? Pays malade, pays de malades, où les dépenses de santé représentent 18,8 % du PIB et où la mortalité ne cesse de progresser ! Visite psychiatrique chez nos amis yankees.

Aujourd'hui, le coaching étend son influence à toutes les sphères de la vie quotidienne : dans le travail, de la gestion de carrière à la consultation en stratégie d'entreprise, comme dans la sphère privée - relations amoureuses et séduction, famille et éducation... La prise de parole en public et la gestion de l'image personnelle sont aussi devenues des domaines clés. Sans oublier le monde du sport, où le métier a été plus rapidement reconnu. Tout devient objet de coaching et tout le monde peut se déclarer coach, au risque d'une dilution de la pratique et du statut. Sommaire.

Pour ses détracteurs, le coaching représente une marchandisation de nos émotions et de notre bien-être, Injonction à devenir entrepreneur de soi-même, il encouragerait tout un chacun à occulter les dimensions politiques et structurelles du malheur individuel. Ce serait une industrie d'autant plus lucrative qu'elle est peu réglementée, permettant aux gourous, aux demi-habiles et aux vendeurs de vent en tout genre de prospérer. Ces critiques sont tout à la fois excessives et fondées.