Un programme novateur a réduit de façon spectaculaire le nombre de SDF au pays du Père Noël, à rebours du reste de l'Europe. Sommaire. Sans-abri : le miracle finlandais. Revenu de base : la Finlande à l'heure du bilan.

L'expérience a démontré qu'assurer, avant tout, un logement à une personne contribue à l'accès aux droits et aux soins, à une meilleure inclusion sociale et professionnelle. Le "logement d'abord" vise les sans-abri mais aussi toutes les personnes privées de solutions pérennes de logement, Les jeunes et les sortants d'institution. Le plan pour le logement d'abord doit renouveler Les politiques publiques dans des territoires de "mise en œuvre accélérée", sur la période 2018-2022.

A l’occasion des Jeux olympiques de 2020, un collectif de bénévoles cherche à déterminer le nombre réel de SDF vivant dans les rues de Tokyo. Un journaliste du "Mainichi Shimbun" les a accompagnés sur le terrain.

Pour assurer un suivi social des personnes en errance et alléger le travail des autres circonscriptions sociales de secteur, la Seine-Saint-Denis a créé un service spécifique. Sont visées les personnes sans hébergement stable, sans ancrage territorial, sans domiciliation, repérées dans tout le département et orientées par une commission. Le service social dédié est doté de cinq travailleurs sociaux du département qui suivent ces personnes jusqu'à leur stabilisation sur un territoire.

Face à l’explosion du nombre de SDF et à la multiplication des campements sauvages, de plus en plus de Californiens expriment ouvertement leur hostilité envers les plus pauvres.

Disposer d'une adresse permet non seulement de recevoir du courrier, mais aussi d'accéder aux droits civils et sociaux : ouvrir des droits au RSA, un compte en banque... La domiciliation est destinée aux personnes sans domicile stable pouvant attester d'un lien avec une commune. Les demandes ont explosé ces dernières années. Pour faire face à cette hausse et à un processus chronophage, les centres communaux d'action sociale (CCAS) se sont dotés de logiciels ou ont externalisé des services.

C’est un petit établissement sans prétention du centre de Toulouse. Pendant le confinement, son propriétaire a choisi d’ouvrir ses chambres à des sans-abri envoyés par le SAMU social. Pour ces migrants, SDF, toxicomanes ou victimes de violences, cette période, si chaotique, s’est muée en une parenthèse de stabilité et d’humanité inattendue.

Ils sont trop pauvres pour trouver un logement, leur voiture est devenue leur domicile.