Pour contrer les critiques de sa baisse dans les sondages, le chef de l'Etat fait feu de tout bois. Au risque parfois de provoquer quelques imbroglios.

Le président de la République est un morceau de choix pour la presse. Les deux pouvoirs s'observent et tentent d'éviter les coups bas. Mais il y a le Web.

Le président de la République le maltraite, mais le chef du gouvernement ne s'en émeut pas outre mesure. Il explique pourquoi

Les Français vont-ils sanctionner le président à l'occasion des élections municipales ? A l'Elysée, on dédramatise la situation et Nicolas Sarkozy réfléchit à des changements au sein de l'exécutif.

La France doit prendre la présidence de l'Union européenne le 1er Juillet 2008... et cela effraie plus d'un pays membre. En cause, l'activisme de Nicolas Sarkozy

Le Bristol, palace de luxe à quelques pas de l'Elysée, est devenu un haut lieu de la politique : le chef de l'Etat a décidé d'en faire sa cantine et s'y rend toujours accompagné.

Les polémiques se succèdent, les sondages ne lui sont pas favorables et les municipales sont dans moins de 2 semaines. Dans cette situation, le président a choisi la fuite en avant.

Entre formalisme empesé et décontraction théâtrale, le conseil des ministres est un savoureux rendez-vous de la sarkozie.

La République est en danger, soyons vigilants. Certes, pas d'écoutes téléphoniques, pas de GIGN pour monter la garde autour d'une deuxième famille cachée, pas de fils à l'Elysée. Mais il n'a pas lu Chardonne. Et peut-être ne peut-il pas réciter du Saint-John Perse !

Séduisant, voire fascinant pour les uns, décevant, voire exaspérant pour les autres. Nicolas Sarkozy ne laisse personne indifférent. Un tel personnage, qui plus est président, ne peut qu'intéresser les psys, dont les analyses reflètent les sentiments extrêmes qu'il suscite.

Dans le cadre de l'enquête sur les chargés de mission fantômes de la mairie de Paris, la juge Xavière Simeoni s'intéresse à la structure créée avant la campagne présidentielle de 1995 par le jeune lieutenant de Chirac

Le couac du vote de la loi sur les OGM a révélé au grand jour la guerre larvée entre le groupe UMP à l'Assemblée et l'Elysée. Et plus particulièrement entre Jean-Francois Copé et Nicolas Sarkozy