Avec le laboratoire européen Colombus, la station spatiale internationale doit recevoir ce mois-ci un de ses éléments majeurs. En février 2008, l'ATV, un supercargo construit par l'Europe, s'y amarrera pour la première fois.

On peut observer en début de nuit des satellites artificiels qui traversent le ciel. Mais l'un d'entre eux est particulièrement lumineux, c'est la Station Spatiale Internationale. On peut la voir sans problème à l'oeil nu quand elle passe au-dessus de la France.

L'orbite terrestre appartient à l'humanité tout entière : elle est libre d'accès pour tous et aucun Etat ne peut se l'approprier. Alors, quel système juridique régit la toute nouvelle station internationale ?

Coûteuse, mal conçue, sans réelles retombées scientifiques, tributaire des aléas politiques de la Russie, la station internationale accumule les retards et son coût n'arrête pas de grimper.

L'exploitation commerciale du Meccano de l'espace vient de démarrer : les tarifs sont désormais publics.

Relancer la navette, accélérer la conception de son remplaçant, terminer la station internationale... Sur ses objectifs, le nouveau patron de la Nasa est clair.

Seize fois par jour elle passe au-dessus de nos têtes à 400 km d'altitude. Embarquez avec nous pour la station spatiale internationale.

Cloué au sol depuis 2003, l'instrument AMS, financé à 90% par l'Europe, sera finalement installé sur la station internationale. Il partira en 2010, à bord de la toute dernière navette. Objectif du meilleur détecteur de particules jamais lancé dans l'espace : prouver l'existence de l'antimatière

Parti à bord du vaisseau russe Soyouz le 17 novembre 2016, l'astronaute français Thomas Pesquet a rejoint la Station spatiale internationale pour sa première mission de longue durée. Comment a-t-il été préparé ? Comment se déroule la vie à bord ? Quelles expériences scientifiques seront menées dans l'espace ? Retour sur la préparation et les premières heures de la mission Proxima.

Comment un équipage d'hommes et de femmes peut-il vivre et travailler à 400 km d'altitude, là où l'air et même la gravité sont absents ? C'est le rêve accompli par l'ISS, la station spatiale internationale.

Chacun va pouvoir observer notre planète en haute résolution grâce à deux caméras installées sur la station spatiale internationale (ISS). Mis en oeuvre par la société canadienne Urthecast, ces outils promettent de belles vidéos, mais la diffusion de ces images au grand public pose aussi des questions de droit.

Durant son séjour de douze jours à bord de la station spatiale internationale en juin dernier, le Français Philippe Perrin a effectué trois sorties dans l'espace.