Le surendettement qui a engendré la crise actuelle, ne peut être résorbé que de quatre manières : les défauts de paiement, les faillites, l'inflation... ou l'annulation des créances

la Banque nationale a peur. La hausse continue des prix immobiliers depuis 30 ans l'inquiète. Elle vient de prendre des mesures qui devraient refroidir le marché et renchérir le coût des crédits immobiliers.

Le dérèglement du monde est profond et il est plus que temps de se ressaisir. Tel est le sentiment profond de Jacques de Larosière, l'ancien directeur du Fonds monétaire international et gouverneur de la Banque de France. "La volonté d'échapper à la réalité va finir par nous rattraper (...). Le point de non-retour est atteint", prévient le financier. A la source de tous nos maux, l'excès d'endettement ouvert avec l'abandon du système de Bretton Woods en 1971.

Sur le modèle alsacien, 300 000 à 600 000 personnes pourront effacer les dettes qui entraînaient leur mort sociale.

Le fait d'emprunter est devenu dans notre société de consommation une tentation très forte. Attention, il peut conduire à bien des ennuis.

Les parlementaires examinent une loi qui cherche à minimiser les abus du crédit à la consommation... sans pour autant brider ce moteur économique.

On leur avait fait miroiter une retraite dorée. Multipliant les emprunts, ils se voyaient propriétaires rentiers. Aujourd'hui ruinés, ils sont plus d'un millier à crier justice.

Le point, en juillet 2012, sur ceux qui profitent du secteur économique relatif à l'insécurité routière, en France. Aux premiers rangs, l'Etat qui a empoché 3,5 milliards d'euros en neuf ans grâce au contrôle sanction automatisé (CSA), ainsi que des assureurs spécialisés sur le segment de niche des mauvais conducteurs (qui ont du mal à trouver un assureur après un accident), telles que les entreprise Solly Azar ou SOS Malus.