Six ans d'instruction, 80 tomes de procédures et une certitude : le groupe pétrolier Total figurera bien dans le box des accusés.

Sept ans après la catastrophe du pétrolier maltais sur les côtes bretonnes, la justice demande des comptes. Un procès fleuve prévu sur quatre mois.

Le nouveau patron de Total prend les rênes du richissime pétrolier alors que les ennuis judiciaires s'accumulent.

Commissions occultes en Iran, violation de l'embargo pétrolier en Irak, le premier groupe pétrolier est la cible du juge Philippe Courroye.

Faire oublier Thierry Desmaret, son prédécesseur rigide, chahuté par les scandales AZF ou "Erika" ? Christophe Jacquin de Margerie est depuis un an à la tête de Total, le numéro quatre mondial du pétrole.

Les deux pétroliers s'affrontent sur le créneau des carburants enrichis, leur arme contre l'essence de la grande distribution.

Le groupe Total et les autres responsables de la marée noire sont condamnés à payer 192 millions d'euros.

Le géant français a une image détestable auprès des Français ? Peut-être. Mais le pipeline des profits coule à flots chez Total.

Ce solide polytechnicien succède à Christophe de Margerie à la tête de l'empire Total.

Soupçonné de corruption en marge de la négociation d'un contrat gazier entre Total et Tripoli, le sulfureux intermédiaire a été mis en examen début octobre 2015. Le patron du groupe français a été placé, lui, sous le statut de témoin assisté.

Implacable, le rapport de l'expert maritime, le commandant Clouet, qui met en lumière les moeurs parfois étranges du transport maritime.

Les experts ont conclu à un accident. Mais toutes les thèses - même les plus farfelues - ont été invoquées. Pour masquer la responsabilité de Total ?