Attendu comme produit miracle, développé en un temps record, déjà préacheté en masse par certains pays, le vaccin contre le coronavirus suscite les vocations, les convoitises et... quelques dérives. Si de nombreux spécialistes le considèrent comme notre seul moyen de retrouver la "vie d'avant", les questions s'accumulent. Efficacité, effets secondaires, répartition géographique et choix des publics à vacciner, stockage et transport, acceptabilité sociale... Notre enquête évalue les chances de réussite des futurs vaccins. Sommaire. Une course aux vaccins sans précédent.

On les croyait disparues. Mais elles resurgissent à la faveur de conditions de vie précaires ou d'une baisse de la vaccination. Etat des lieux.

Le mouvement antivaccin reste marginal en France. En revanche, l'hésitation vaccinale, symptôme des controverses au sein de la médecine, est beaucoup plus fréquente.

À la fin du XVIIIe siècle, le premier vaccin était mis au point. Les progrès scientifiques ont explosé entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, et la vaccination est devenue une pratique courante. L’éradication de certaines maladies comme la variole a ainsi été rendue possible. Aujourd’hui, les recherches évoluent dans les techniques et les pathologies visées. Malgré ces victoires, la vaccination est restée un sujet de discorde au sein de la population.

Récemment, de nouveaux vaccins ont fait leur apparition en Belgique, modifiant nos perspectives dans le domaine de la vaccination : l’Arexvy®, pour la prévention des infections des voies respiratoires inférieures causées par le virus respiratoire syncytial chez l’adulte ≥ 60 ans ; l’Abrysvo®, indiqué pour la protection contre les infections des voies respiratoires inférieures causées par le virus respiratoire syncytial, par immunisation active des personnes âgées de ≥ 60 ans et par la protection passive chez les nourrissons de la naissance à l’âge de 6 mois grâce à la vaccination de la mère pe

Infatigable chercheur et inlassable explorateur, Louis Pasteur, avec ses découvertes sur les micro-organismes, a changé l’histoire de l’humanité.

Ce bref article est consacré aux vaccins dirigés contre cinq agents infectieux impliqués dans un accroissement du risque cardiovasculaire de l’adulte : COVID-19, influenza, pneumocoque, virus respiratoire syncytial et virus varicelle-zona. L’article est divisé en trois parties. Nous rappelons d’abord les mécanismes responsables des événements cardiovasculaires qui surviennent pendant et après les infections. Nous abordons ensuite les principes de la protection vaccinale en la matière.

Le pharmacien d’officine belge participe activement aux activités de prévention primaire et tertiaire, non seulement par le biais des soins pharmaceutiques accompagnant la délivrance de médicaments ou dispositifs médicaux, mais aussi via les nouveaux services, comme la revue de la médication. Il réalise aussi des séances d’éducation thérapeutique des patients dans le cadre des entretiens d’accompagnement de Bon Usage des Médicaments (BUM).

L’un des grands enjeux de l’année 2021, ce sont les campagnes de vaccination contre le Covid-19. Viendront-elles à bout de la pandémie ? Permettront-elles un retour à la "vie d’avant" ? Leur efficacité sera-t-elle annulée par l’opposition de la population, notamment en France où 6 Français sur 10 n’ont pas l’intention de s’y soumettre ? Si la vaccination n’est pas obligatoire, elle devient une affaire de choix personnel. Un choix aux dimensions à la fois éthiques et politiques.

Le zona, encore appelé herpès zoster (HZ) ou ceinture de feu, est dû à la réactivation du virus de la varicelle et zona (VZV) au niveau d’un ganglion nerveux suivi par un passage intra-axonal vers un dermatome déterminé. Le risque du zona augmente avec l’âge, tout d’ailleurs comme le risque de morbidité. La complication la plus redoutée est la persistance des douleurs zostériennes. Ces risques sont encore nettement augmentés chez le patient immunodéprimé.

A quel point le vaccin a-t-il permis d'enrayer l'épidémie de Covid ? Un an après notre dossier sur son développement, nous nous replongeons dans les données scientifiques pour dresser un premier bilan de la plus grande campagne vaccinale de l'Histoire. Résultat : le vaccin a permis d'éviter de nouvelles saturations hospitalières en 2021. Mais il ne parvient pas à mettre un terme à la pandémie.