De plus en plus de pays instaurent des réglementations pour restreindre l'accès à leur marché intérieur. Fortement exportatrices, les entreprises allemandes réagissent en installant localement des unités de production.

Ralentissement, voir même recul, depuis quelques années de la mondialisation que l'on croyait pourtant sans fin. Preuve en est, le ralentissement des flux de capitaux du fait de la diminution des activités bancaires internationales, tout particulièrement depuis la crise de 2007 - 2008, et le changement de stratégie des firmes qui rapatrient en partie leurs approvisionnements et productions. A cela s'ajoute le rejet politique de la mondialisation économique qui est devenu un atout électoral, à l'instar du protectionnisme de Donald Trump élu à la présidence des Etats-Unis.

Après sept ans de débats, l'assemblée générale de l'ONU a adopté, le 2 avril 2013, le premier traité sur le commerce international des armes conventionnelles. Très attendu par les ONG de défense des droits de l'homme, le texte réglemente l'importation, l'exportation et le transit des armes ″classiques″, des revolvers aux avions de chasse, en passant par les missiles.

A rebours d'une opposition classique entre la vitalité des pratiques privées de l'argent et la pesanteur des interventions publiques et réglementaires, cette étude de la Bourse et des agents de change à Rouen sous l'Ancien Régime décrit comment l'élite du négoce rouennais encadrait et surveillait les échanges de papier commercial.

Ce que l'on retiendra du sommet Union européenne - Amérique latine et Caraïbes, tenu à Vienne, le 12 mai 2006, c'est la confirmation par le Président bolivien Evo Morales de la nationalisation - mot devenu tabou en Europe - des compagnies d'hydrocarbures de son pays.