″Le Point″ a lu l'accord secret négocié par EDF et Areva avec la Chine.

Depuis qu'elle a épousé le patron d'EDF, l'humoriste Rachida Khalil bénéficie de rentrées d'argent inexpliquées.

A l'un, la branche réacteurs ; à l'autre, le business de l'atome : l'accord entre les deux mastodontes du nucléaire français en est au stade des dernières négociations. Et elles sont rudes ! car la filère se trouve en grande difficulté. Concurrence Internationale accrue, gouffre financier de la technologie EPR... Le sauvetage s'annonce périlleux.

Le grand carénage, colossale opération de maintenance des centrales, vient de démarrer. Un défi technique et... financier.

Mais que fait l'Etat actionnaire ? A la fois régulateur, employeur, client, il souffre de schizophrénie et multiplie les décisions contradictoires. Gravissime, à l'heure où les entreprises qu'il détient affrontent des crises sans précédent. Sommaire. Les fiascos de l'Etat actionnaire. EDF l'Etat sans vision. Areva, l'Etat sans courage. SNCF, l'Etat sans rigueur. Air France, l'Etat sans issue. Scandale à la française.

Résorber un endettement de 37,5 milliards d'euros tout en entretenant le parc nucléaire français et en développant les énergies renouvelables. C'est la mission - possible ? - de Jean-Bernard Lévy, le volontariste patron de l'électricien.

Alors que cinq réacteurs sont à l'arrêt par sécurité, la vague de froid actuelle souligne les fragilités de notre filière nucléaire. Le troisième secteur industriel français est confronté à un vrai casse-tête financier. Sommaire. L'heure des grands travaux a sonné. Journée sous haute tension à Tricastin. EDF Areva, les dessous d'un mariage arrangé. La grande solitude de Mr sûreté. Un savoir-faire en péril. La French tech du démantèlement.

Inquiet des risques du projet d'Hinkley Point, le directeur financier d'EDF a préféré démissionner

La démission de dirigeants des deux entreprises met au jour les injonctions contradictoires de leur actionnaire