La réussite d'une acquisition passe par l'intégration réussie de son capital humain. Mode d'emploi.

Réflexion, en décembre 2010, sur les avantages des alliances entre entreprises par rapport aux fusions et acquisitions, qui peuvent être destructrices de valeur à long terme, faute de synergies. Les alliances permettent de profiter des compétences mutuelles de chaque entreprise et de découvrir ou d'approfondir ses connaissances d'un nouveau marché. Les alliances permettent également plus de souplesse, avec la possibilité de se séparer en cas d'échec, tandis que la fusion/acquisition reste une opération irréversible.

Décryptage, en mai 2011, des règles de bon sens pour réussir une opération de fusion-acquisition entre deux entreprises françaises, dans la mesure où la réussite d'une fusion-acquisition se joue tout autant en aval qu'en amont. Il est donc important, non seulement, une fois l'acquisition effectuée, de mettre en place un véritable projet d'intégration, mais également de veiller à la qualité de son exécution et à la priorité accordée au facteur humain. L'objectif : concrétiser les fameuses synergies de charges, de savoir-faire et de revenus, sur lesquelles reposent la plupart des opérations.

Les spasmes de la planète financière lui compliquent certes la tâche mais comme cette dernière vise justement à y remédier, c'est avec ambition qu'il aborde le chantier ô combien complexe de la fusion de Nyse Euronext avec la Deutsche Börse. Dominique Cerutti, patron de l'entité parisienne, membre du directoire du holding de tête, est donc au premier plan pour commenter les enjeux de ces grandes manoeuvres de consolidation.

Point sur la place centrale des systèmes d'information (SI) dans le fonctionnement de l'entreprise, et surtout dans la réalisation et le succès des synergies recherchées. Le poids de ces SI est aujourd'hui croissant dans les opérations de fusion-acquisition des sociétés françaises. Les harmoniser rapidement et impliquer les directions des services informatiques au plus tôt dans le processus d'intégration est dès lors vivement conseillé par des spécialistes.

Tendance des ″spin off″ dans le monde, qui désignent une technique de désinvestissement dans laquelle une (ou plusieurs) filiale(s) d'une entreprise cotée sur le marché boursier est (sont) séparée(s) de l'entreprise mère pour devenir une entité indépendante qui sera par la suite elle-même cotée sur le marché boursier. On parle alors de ″déconsolidation des filiales″. Pourquoi les entreprises sont nombreuses à se lancer ? Pour une meilleure lisibilité des actifs, de leur management, de leur risque, et de leur rentabilité.

Ben van Beurden a littéralement bondi sur BG Group, le trophée convoité par Shell depuis des décennies.

Les petites "boutiques", structures de haut-vol en matière de conseils et de fusions-acquisitions, ont le vent en poupe aux Etat-Unis. Survivront-elles pour autant au boom actuel du marché ?

Comment le PDG hyperactif met la fusion en musique... sans casser la machine.