Dans une vidéo diffusée le 4 mars 2006, le bras droit d'Oussama Ben Laden appelle le Hamas à "poursuivre la lutte armée" contre Israël. Réponse cinglante de Ramallah.

Régler la question des Territoires palestiniens est une urgence, affirme "Ha'Aretz". Cela permettra enfin de s'attaquer aux problèmes économiques de la société israélienne.

Qu'il s'agisse de se désengager des Territoires ou de fixer des frontières, Israël ne peut pas continuer sa politique unilatérale. Il doit trouver un partenaire palestinien, fût-il le Hamas, estime cet éditorial.

Les organisation israéliennes "Briser le silence" et "Ir Amim" proposent aux touristes de leur montrer les réalités cachées de leur pays en les emmenant dans des quartiers palestiniens.

Si le président de l'Autorité palestinienne est estimé en Israël, personne n'écoute ses revendications politiques, constate amèrement le quotidien de la gauche libérale.

Comment des démocrates peuvent-ils accepter que tant d'injustices soient faites aux Palestiniens ? Spécialiste des Territoires palestiniens, la journaliste israélienne Amira Hass s'interroge.

Le bouclier humain formé par les Palestiniens pour empêcher la destruction d'une maison à Gaza a rappelé l'efficacité des tactiques utilisées lors de la première Intifada, note le quotidien de Boston.

Le Premier ministre israélien a chaleureusement embrassé le président palestinien lors de leur récente rencontre. Cela ne suffit pas à faire oublier des mois de guerre.

En lançant des roquettes sur le territoire israélien, le Hamas cherche à reproduire le scénario libanais de l'été 2006. Mais Israël ne doit pas se laisser dicter son agenda militaire, estime le chroniqueur militaire du "Yediot Aharonot".

Le fait qu'une majorité de Juifs israéliens souhaitent voir leurs concitoyens arabes émigrer est la preuve, selon l'historien Moshe Zimmerman, d'un profond déficit démocratique de la société.

La décision de ne plus fournir d'électricté au territoire palestinien est inefficace, inhumaine et surtout stupide, explique l'éditorialiste Nahum Barnea, lauréat du prix Israël 2007.

A la veille de l'ouverture du sommet d'Annapolis, le 26 novembre 2007, le septicisme règne dans les deux camps.