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Meilleurs disques

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La séduction mélodique et les exigences virtuoses du "Concerto en sol mineur" l'ont inscrit au panthéon du répertoire romantique. Quel violoniste saura en déjouer les pièges et en faire ressortir tout le suc ?
Numéros de page :
pp.62-65

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Les interprètes les plus intimement liés au piano de Schumann, et cela ne s'explique pas, s'en tiennent souvent à quelques opus. Un paradoxe dont découle une intégrale "idéale".
Numéros de page :
pp.84-85

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Parmi des milliers de disques écoutés, plus de soixante-dix se sont vus décerner un Diapason d'or en 2019. Et seize nous ont fait chavirer plus que de raison, accédant aujourd'hui à la récompense suprême : Diapason d'or de l'année. Dévoilé le 26 novembre 2019 sur l'antenne de France Musique, ce palmarès est aussi un parfait aide-mémoire à l'heure des cadeaux de Noël! Vous voulez savoir ce qu'en pensent les heureux élus? Nous le leur avons demandé.
Numéros de page :
pp.20-39

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L'énigmatique virtuose se livre, tout en retenue. A 78 ans, Martha Argerich travaille davantage et se laisse plus que jamais guider par le hasard, l'inattendu et, chose semble-t-il impensable pour une telle légende, ses incertitudes. Elle doute de tout, tout le temps, sauf de la musique elle-même.
Numéros de page :
pp.34-43

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Entre légèreté d'humeur et flamboyance, simplicité et perfection formelle, qui saura s'emparer de l'insaisissable Till ?
Numéros de page :
pp.62-65

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Deux cent cinquante ans ! Entre autres réjouissances, la Folle journée de Nantes fait de Ludwig van Beethoven son homme de l'année, dès ce mois de janvier 2020. L'occasion de réviser l'oeuvre du colosse. Sommaire. Beethoven, dans l'oreille d'un sourd. Comment l'entendez-vous ? Beethoven en disques.
Numéros de page :
pp.22-35

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Quand elle apparaît en 1571 sur la page de titre d'un recueil imprimé par Adrian Le Roy, l'appellation « air de cour »s'oppose sans doute à celle de « voix de ville » ou « vau de ville ». Opposition purement théorique, d'ailleurs, puisque le nouveau venu hérite de son aïeul, auquel il entend donner une allure plus princière : même s'il ne vient pas réellement de la cour, il revendique une origine non plus urbaine, mais aristocratique. C'était surtout le moyen de prétendre au plus haut raffinement.
Numéros de page :
pp.50-51

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Auteurs
Tenant son surnom de son introduction inquiétante à la limite de l'atonalité, le dernier des "Quatuors dédiés à Haydn" s'achève dans une envolée solaire. Quelle formation saura exalter cette lumière surgie des ténèbres ?
Numéros de page :
pp.56-59

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C'est le collectionneur insatiable, c'est moi, c'est vous. Au détail près que lui ne collectionne pas le tableaux ou les disques mais les femmes. Collection qui impose une méthode où la vertu se mêle diaboliquement au vice : séduire. Tous les temps, tous les lieux connaissent ce suborneur tantôt doux tantôt brutal qui séduit les filles, parfois les engrosse, et les lâche pour une autre plus fraîche. Athènes le nomme Zeus. Paris, Valmont. Venise, Casanova.
Numéros de page :
pp.44-45

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La première audition publique de cet oratorio fut un triomphe absolu que la postérité n'a jamais démenti. Qui saura répandre la lumière de ce que beaucoup considèrent comme le chef-d'oeuvre du compositeur?
Numéros de page :
pp.58-61

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« Il travaille dans le délire de sa joie et dans la joie de son délire », rapporte un de ses amis lorsque Beethoven, en pleine euphorie créatrice, compose son Quatuor à cordes n° 12 en mi bémol majeur. Esquissé en 1823, achevé en octobre 1824, dédié au prince russe Nicolas Galitzine, cet Opus 127 est créé à Vienne le 6 mars 1825 par le Quatuor Schuppanzigh. C'est un échec, renouvelé lors de la deuxième audition donnée par le Quatuor Böhm. « Il faut l'entendre souvent » dit Beethoven.
Numéros de page :
pp.44-47

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Non, VictorHugo (1802-188S) n'a jamai sdéfendu qu'on déposât de la musique le long de ses vers. Au contraire, il admirait l'art de Schubert dans "Le Roi des Aulnes" de Goethe, pour lui "chef-d'oeuvre" du lied: "ce qu'on ne peut dire, ce qu'on ne peut taire, la musique l'exprime. [ ... ] Le chant est pour l'Allemagne une respiration". Et lorsqu'il s'agit de célébrer "Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie" en 1830, le poète se tourne vers le compositeur Hérold, afin de "donner l'âme et la vie" à ses mots.
Numéros de page :
pp.48-49