Informatique, biotechnologie, environnement... "Sciences et Avenir" a sélectionné sept secteurs d'activité où la demande en ingénieur(e)s est forte. Sommaire. Informatique / IA : forte demande dans les spécialités tous azimuts. Physique / Chimie : une grande palette de débouchés. Aéronautique / Auto : des secteurs avides de nouvelles technologies. Biotechnologie / Pharmacie : l'irrésistible essor des biotechnologies. Bâtiment / Génie civil : beaucoup de projets, pas assez de têtes. Agroalimentaire : un taux d'insertion professionnelle très élevé.

Ardent défenseur du charbon dans les négociations climatiques, le gouvernement polonais ferme pourtant une à une les nombreuses mines du pays.

La politique du "juste à temps" appliquée aux Etats-Unis par l’industrie agroalimentaire et les distributeurs a été mise à mal lorsque les consommateurs, craignant les pénuries, se sont rués dans les magasins. En complément, l'article intitulé "Qui va manger toutes ces huîtres ?" décrit les tentatives du secteur nord-américain de la conchyliculture de s'adapter, lui-aussi, à une rupture de l'offre de et la demande.

Durant l'épidémie de coronavirus, faute de stock, le marché du sanitaire a littéralement explosé. Difficultés d'approvisionnement, matériels défectueux, intermédiaires louches, voire escroqueries, les problèmes se sont accumulés.

Nichées au coeur de nos ordinateurs, elles subissent la raréfaction de leurs principaux composants : les processeurs graphiques. Ces as du calcul, qui garantissent aux images une fluidité époustouflante, n'intéressent pas que les geeks: les fabricants de cryptomonnaies, aussi, ont alourdi la demande. Et l'industrie ne suit plus...

En plein boom, le secteur aérien européen manque de pilotes. Une aubaine pour les écoles d'aviation privées, qui voient affiuer les candidats.

Après la fermeture des trois derniers réacteurs, le pays manque toujours de solutions durables pour subvenir à ses besoins, selon cet hebdomadaire de gauche.

Alors qu’ils représentent moins de 5 % de la population mondiale, les Américains consomment un quart des médicaments vendus sur ordonnance dans le monde. Aucune nation au monde ne dépense davantage pour sa santé et peu sans doute dépensent aussi mal : plusieurs indicateurs clés, dont l’espérance de vie, la mortalité infantile et la probabilité de vivre au-delà de cinquante ans, situent les États-Unis au dernier rang parmi les pays riches.

Culture sans intrants, bien-être animal... Ces exploitants ont tout changé, confiants dans l'avenir. Mais leurs produits se vendent mal. Que vont-ils devenir ?

Ils sont les enfants des Trente Glorieuses, l'incarnation de la société de consommation. Un demi-siècle après l'avènement de la grande distribution, les hypermarchés poursuivent leur expansion. Qu'importe la concurrence du commerce en ligne, des circuits courts ; chaque année, des centaines d'hectares disparaissent encore sous les tôles ondulées. Cet insatiable appétit immobilier n'est pourtant pas au diapason de la consommation. Alors, à mesure que les bénéfices s'érodent, les géants accélèrent leur fuite en avant. Enquête sur une crise de surproduction qui ne dit pas son nom.

Objet de débat depuis des dizaines d'années, le pic pétrolier, moment où la production mondiale d'or noir atteindra son maximum, a sans cesse été repoussé. Les éléments pointant vers sa survenue prochaine ne manquent pas, et ce malgré le flou nimbant l'état réel des réserves.

Ces dernières années, le déploiement rapide des énergies renouvelables et l'abandon des combustibles fossiles les plus polluants ont redonné de l'espoir, même aux plus fervents défenseurs du climat. Cependant, au moment où le monde semble faire de réels progrès dans la lutte contre le réchauffement climatique, l'ampleur de la demande en énergie va encore s'accroître. Quelles pistes poursuivre pour continuer à s'adapter à cette "nouvelle réalité" ?