Suicides, dépressions, violences, la détresse des salariés est sans précédent. Le phénomène, amplifié par la crise, n'est pas français. Mais il fait des ravages dans un pays où le métier et l'entreprise restent des valeurs phares.

Que l'on soit manager ou dirigeant, intégrer la singularité dans ses équipes peut être une source d'enrichissement mutuel. Pour éviter les écueils, l'entreprise doit respecter certains principes.

Stress, harcèlement, pression économique, précarité... L'entreprise cristallise les souffrances d'une société en crise. Et elle se montre tout sauf exemplaire, comme l'illustre un livre choc sur les DRH dont « L'Express » publie des extraits. Pourtant, une autre vie au travail est possible.

Emploi des personnes handicapées en entreprise, le chemin est encore long

Tous perdants

Cet expert du recrutement décode les nouvelles exigences des entreprises comme les mutations du marché du travail.

Rencontre, en janvier 2011, avec Francis Mer, président du Conseil de Surveillance de Safran et ancien ministre de l'économie, des Finances et de l'Industrie qui apporte sa solution au problème économique de la France : créer de la croissance au lendemain de la crise économique mondiale. Un défi qui nécessite de tenir un discours de vérité aux Français, de la pédagogie et la prise en compte des responsabilités du management des entreprises vis-à-vis de l'environnement humain et territorial.

Réflexion, en janvier 2012, sur les errances du syndicalisme en France, fragilisé par des effectifs en baisse et par l'abandon de certains de ses objectifs. Les syndicats se montrent incapables de se transformer en force de proposition face au rouleau compresseur de l'exécutif. Pourtant, le besoin de syndicat ne s'est jamais fait aussi fort que pendant l'actuelle période de crise économique. Un syndicalisme fort et responsable qui contribuerait aux changements nécessaires et au renforcement des liens sociaux.