Les morsures de serpents tuent des dizaines de milliers de personnes chaque année en Afrique. Accéder à un traitement peut être difficile, et les antivenins restent rares.

Un accompagnement spécifique vise à aider les jeunes et leurs familles dans leurs souffrances psychiques et somatiques liées à l'adolescence. Cet arsenal thérapeutique va de l'hospitalisation à temps plein aux consultations en ambulatoire de différents professionnels. Divers groupes de soins plus spécialisés répondent à des problématiques particulières rencontrées par les adolescents : éducation thérapeutique liée à la boulimie, réflexions sur les situations d'adoptions ou consultations transculturelles.

Le traitement endovasculaire s’est imposé, ces dernières années, comme le traitement de premier choix des lésions artérielles occlusives fémoro-poplitées. Il est moins invasif que l’approche chirurgicale. L’évolution des techniques endovasculaires et du matériel l’ont rendu efficace. L’utilisation de la ponction rétrograde ou de cathéters de ré-entrée permet de recanaliser des occlusions plus complexes. La préparation du segment artériel sténosé ou occlus fait partie intégrante de la thérapie.

L’abcès hépatique est une pathologie rare. Les étiologies sont multiples et la mortalité, liée au phénomène infectieux ou aux complications locales, est élevée. La rapidité diagnostique et la mise en place d’un traitement adéquat et efficace sont indispensables pour permettre la guérison sans séquelle. Nous rapportons le cas d’un abcès hépatique bactérien monofocal d’origine iatrogène à la prise en charge compliquée chez une patiente de 61 ans.

En décembre 2019, à Wuhan, une nouvelle pathologie infectieuse humaine est née, le COVID-19, consistant avant tout en une pneumonie, induite par le coronavirus nommé SARS-CoV-2 en lien avec l’intensité de la détresse respiratoire qu’il entraîne (SARS pour syndrome respiratoire aigu sévère, et CoV pour coronavirus). Une véritable crise sanitaire et planétaire est apparue, bien plus conséquente que celle liée au SARS-CoV-1 en 2002-2004 et au MERS-CoV (Middle East Respiratory Syndrome Coronavirus) en 2012.