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Tunisie. La révolution avortée

Numéros de page :
pp.50-54
Poids écrasant de la dette, déficits qui se creusent, investissement privé en berne, infrastructures insuffisantes... Faute d'une vision ambitieuse, les promesses du Printemps tunisien sont restées lettre morte, et les opérateurs étrangers s'impatientent.