La promulgation d'un nouveau code minier, dont la précédente version était trop favorable aux investisseurs étrangers, suscite la fureur de ces derniers, Glencore et Randgold en tête. Kinshasa, sûr de son bon droit et encouragé par la flambée du prix des matières premières, semble déterminé à porter le fer, quitte à embraser le secteur.

Le trafic de marchandises va doubler, mais les financements privés dans les infrastructures tardent encore, explique Maïdadi Sahabana, directeur transport du cabinet Louis Berger. Sommaire. «Les risques pays sont trop grands pour les investisseurs». Sitarail relancée pour doper la production de minerais. Autoroutes du Maroc amorce son chantier de désendettement.

En bloquant le rachat du fabriquant de microprocesseurs Qualcomm par un industriel singapourien, la Maison-Blanche complique la vie des entreprises américaines implantées en Chine.

Six ans après sa montée en puissance sur le continent, le fonds dubaïote abandonne le segment des PME et se concentre sur les futurs champions régionaux.

Le prince MBS prépare la mise en Bourse du groupe pétrolier public. Une société mystérieuse, dont l'histoire épouse celle du royaume.

L'absence de leader du secteur pour la reprise de Carthage Cement pose la question de l'efficacité du holding tunisien, chargé de vendre les entreprises confisquées après la révolution de 2011.

Fin 2017, les autorités soudanaises ont concédé la gestion de l'île de Suakin à la Turquie contre des promesses d'investissements. De quoi alimenter la méfiance des habitants de l'île et des voisins saoudiens et égyptiens.

Avec le soutien financier de Pékin, Addis-Abeba industrialise le pays à marche forcée - en misant sur une main-d’oeuvre très bon marché.

Le continent soigne son attractivité. "Le Point" vous ouvre ses portes.

Homme fort du football anglais, propriétaire du club de Chelsea, le milliardaire n'a plus mis les pieds en Grande-Bretagne depuis six mois. Ce proche du Kremlin incarne la fin du laisser-faire vis-à-vis des oligarques installés dans le pays.

La Bourse britannique s'est imposée comme une place de choix pour les entreprises du continent. Une position que le Royaume-Uni entend conserver, en dépit du Brexit.