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B3 Centre de ressources Musique et Cinéma 791 HIS VIENNE Disponible
Année de parution :
2006
Les auteurs répondent à une question centrale, celle de la présence des artistes d'origine germanique dans le cinéma américain, avant, pendant et après la période hitlérienne, de 1920 à 1960. Ils insistent à la fois sur l'apport singulier de certaines personnalités et sur l'importance des relations et des transferts entre les deux aires culturelles.
Editeur :
Collection :
Perspectives critiques
Importance matérielle :
331 p. : 22 cm
9782130552192
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Article

Auteurs
Date parution pério
2015-07-01
Remix furioso.
Numéros de page :
2 p. / p. 112-113

Article

Date parution pério
2020-09-01
Quel malentendu magnifique que l'oeuvre d'Ennio Morricone... Etonnant succès public d'une musique en fait exigeante et difficile. Popularité durable de quelques pièces qui masquent la démesure de plus de 500 partitions souvent extravagantes et complexes.
Numéros de page :
pp.66-67

Article

Date parution pério
2020-12-01
Jadis façonneur de mythes "pop" couronnés de succès, ("Qui veut la peau de Roger Rabbit", "Retour vers le futur" et "Forrest Gump"), Robert Zemeckis enchaîne depuis dix ans des œuvres au ton étrange ou rebelle aux étiquettes ("The Walk", "Alliés", "Bienvenue à Marwen"). Son imaginaire excentrique désarçonna jadis le public avec "La Mort vous va si bien", gros échec commercial, et film auquel ces "Sacrées Sorcières" se rattachent le plus. Pionnier des corps numériques, Zemeckis est un formaliste des effets spéciaux qui plient les éléments narratifs au visuel.
Numéros de page :
pp.40-41

Article

Auteurs
Fallait-il consacrer dans cette revue un ensemble à un film diffusé par Netflix qui est aussi un des meilleurs de l'année ? Sans hésitation nous l'avons décidé. Ce film existe, il sera un jour visible chez nous sur grand écran comme il l'est dans certains pays. Son metteur en scène a reçu le Lion d'or à Venise et a rencontré un accueil enthousiaste aussi bien critique que public.
Numéros de page :
pp.8-18

Article

"La Mule" est venu compléter "Gran Torino" pour parachever un diptyque (pour l'instant ... ) testamentaire. Mais les deux œuvres sont incroyablement toniques, ouvertes et, surtout pour "La Mule", joyeusement anticonformistes. C'était l'occasion rêvée de donner la parole à Clint Eastwood, doyen du cinéma hollywoodien, dans une interview en roue libre, où il parle de cinéma, de musique, de politique, de fleurs, de la famille... Mis en confiance par un interlocuteur qu'il connaît bien, le cinéaste et acteur se livre sans fausse pudeur.
Numéros de page :
pp.8-18

Article

L'habile Rian Johnson, concepteur de cet Episode VIII, livre un étrange opus, majestueux, composite et contradictoire. Les scénaristes du film précédent, J.J. Abrams et Lawrence Kasdan, jouaient à fabriquer une boîte à secrets, source des surprises à venir (Qui sont les parents de la jeune Rey ? Comment lire son rêve ? Que fait le sabre de Luke chez Maz Kanata ?). Cette fois, la fiction ébranle les fondements de l'univers de Star Wars.
Numéros de page :
pp.36-37

Article

Auteurs
Terrence Malick aura donc réalisé cinq films en trois ans : "Song to Song" est le quatrième. Il poursuit sans doute sur un chemin connu depuis plusieurs années : le détail du récit importe peu, il suffit de retenir le dessin très simple de la fable, de remarquer les rares retournements qui ordonnent son déroulement. Le titre est clair : il s'agit, en dépit des contingences et des faiblesses humaines, de produire une continuité fidèle à un modèle musical. C'est ce trait de style, que beaucoup jugeront vain, qui constitue la nouveauté du film et justifie son existence.
Numéros de page :
pp.6-11

Article

Auteurs
De ce film faussement mineur qu'il préférait à tous les autres, Lean garda des notes, un carnet de voyage qu'il ne destinait qu'à lui-même. On peut y lire l'aveu candide et passionné d'un film qui ne serait que plaisir de traduire en images des êtres et des lieux que l'on aime voir et donner à voir, "le désir d'enfant de montrer aux autres un nouveau jouet ou une fleur colorée" - le désir qui le fit devenir cinéaste.
Numéros de page :
2 p. / p. 87-88

Article

Auteurs
Difficile jusqu'alors de se souvenir d'une production d'opéra qui ne sollicite lourdement les efforts de l'imagination, constate en 1951 Cecil B. DeMille lorsqu'il découvre "Les Contes d'Hoffmann", signé par le duo des Archers, Powell et Pressburger. Enthousiaste, DeMille écrit à Powell son goût d'un film qui marie enfin les beautés "du grand art" , avec la machinerie du cinéma. Le sens spectaculaire du cinéma anglo-axon (montrer, séduire, sidérer pour hisser l'imagination) s'épanouit sans limites dans ces "Contes", bel exemple de spectacle total.
Numéros de page :
2 p. / p. 87-88

Article

Auteurs
Retour sur la carrière de James Horner, compositeur de musique de films.
Numéros de page :
1 p. / p. 69

Article

Auteurs
Pierre Berthomieu livre les clés de la dernière exposition à la Cinémathèque française du 5 octobre 2016 au 29 janvier 2017.
Numéros de page :
1 p. / p. 68

Article

Auteurs
Numéros de page :
1 p. / p. 62

Article

Auteurs
Numéros de page :
1 p. / p. 72