Près de 150 auteurs, de six pays différents, font le point sur deux millénaires de présence juive sur le territoire français. Une odyssée interculturelle et entrecroisée depuis l’époque des guerres romaines, où les Juifs sont des acteurs parmi d’autres de l’histoire de France. Un livre-événement.

Le 21 février 2024 le résistant arménien Missak Manouchian fera son entrée au Panthéon. Pourquoi lui plutôt qu’un autre parmi le groupe de 23 résistants exécutés par les Allemands en 1944 ? C’est que, depuis cette date, son nom est devenu un symbole dont il est utile de rappeler comment il a cheminé jusqu’à nous.

Pendant cinq ans, trois historiens ont analysé le détail des 197 photographies prises à Auschwitz par les nazis au printemps 1944 afin de documenter l’efficacité avec laquelle ils accomplissaient leurs tâches – la déportation et l’extermination de 400 000 Juifs de Hongrie. Un livre aussi instructif que poignant.

Dans un essai novateur, l’historien américain David Nirenberg soutient que l’idéal de pensée occidentale s’est construit, depuis l’Antiquité, en miroir contre une figure repoussoir et fantasmée : celle du Juif.

Depuis vingt ans, ce réalisateur de documentaires prolixe défend les images d’archives et la présence de la chanson dans ses films.

Le grand magistrat Pierre Truche, procureur général au procès de Klaus Barbie en 1987, est mort le 21 mars 2020.

Enfermement, discours martial, monde sans voyages, place croissante des experts dans le champ politique, école à distance, "gestes barrières", modèle chinois : face à la crise qui a frappé le monde à partir de mars 2020 (la pandémie de coronavirus et surtout les réponses politiques et sanitaires apportées par les gouvernements), les historiens ont mobilisé leurs compétences pour essayer de comprendre l’événement, en le confrontant à des situations passées. Sommaire. Face à l’imprévisible. Penser la crise : Al-Maqrizi et la ruine de l’Egypte. "L’étrange défaite" de Jules Michelet.