Le 7 juillet 2008, en arbitrage privé, Bernard Tapie a obtenu gain de cause dans son litige avec le Crédit lyonnais à propos de la vente d'Adidas à Robert Louis-Dreyfus. Selon les arbitres, la banque a failli à ses obligations.

Les équipementiers du foot Nike et Adidas se disputent à prix d'or les contrats avec les sélections nationales et les clubs. Un business planétaire dopé par le Mondial.

Le Nouvel Economiste revient, en détail, sur les questions de droit posées par la résolution du conflit entre Bernard Tapie et le CDR à propos de la vente d'Adidas

Le scandale Adidas revient. Et on en apprend de belles sur le fonctionnement de la justice.

L'ancien président français est-il intervenu dans la décision qui a rapporté 241 millions d'euros à Bernard Tapie dans l'affaire Crédit lyonnais - Adidas?

Si Nike est le numéro un mondial du sport, Adidas est resté le leader mondial du sport numéro un. Bien sûr, la victoire de la France a fait du bien à la marque aux trois bandes. Mais de la premimère rencontre avec les Bleus jusqu'à la consécration des Champs-Elysées, l'état-major d'Adidas n'a cessé de choisir la voie la plus risquée. Avec succès.

Lorsque Tapie jette l'éponge en février 1993, la firme aux trois bandes est dans les cordes. En moins de deux ans, Robert Louis-Dreyfus, un milliardaire qui n'en est pas à son premier exploit, l'a remise sur pied...

A l'âge de jouer les grands-mères, elle reprenait Adidas avec Tapie. Mais aujourd'hui l'ancien bras droit de Jimmy Goldsmith raccroche... fortune faite !