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Breton, André (1903-1962)

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Auteurs
Au coeur du Lot, la maison du poète surréaliste, à Saint-Cirq-Lapopie, connaît un nouvel élan sous la houlette de Laurent Doucet. Découverte d’un lieu unique chargé d’histoire(s).
Numéros de page :
pp.18-19

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1941: un bateau quitte Marseille pour la Martinique. A son bord, André Breton et Claude Lévi-Strauss, mais aussi la photographe d'avant-garde Germaine Krull et le cinéaste Jacques Rémy. Olivier Assayas, fils de ce dernier, et le romancier Adrien Bosc publient "Un voyage, Marseille-Rio 1941", avant une exposition à Arles, en juillet 2019. Une émouvante enquête familiale et historique.
Numéros de page :
pp.34-39

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Auteurs
L'un des plus beaux récits d'amour livre ses secrets grâce à la publication du fac-similé du manuscrit d'André Breton et à la découverte de lettres et carnets de l'auteur, et de Nadja elle-même.
Numéros de page :
pp.71-73

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Le chef de file des surréalistes a toujours nourri une fascination pour les artistes en marge. Théorisée notamment dans un ouvrage monumental, « l'art magique », auquel se consacre une exposition décalée du LAM.
Numéros de page :
pp.100-103

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Date parution pério
2016-05-01
En 1912, le grand couturier Jacques Doucet (1853- 1929), qui habilla les personnages de Proust, vendit, pour des raisons sentimentales, sa très riche collection du XVIIIe siècle pour se tourner vers l’art moderne, voire contemporain. Exit Jean Siméon Chardin, Antoine Watteau, Jean-Baptiste Greuze et Jean-Honoré Fragonard pour faire place, dans sa nouvelle demeure, avenue du Bois-de-Boulogne, décorée par Paul Iribe, à Édouard Manet, Claude Monet, Paul Cézanne, Edgar Degas, Vincent Van Gogh et bientôt à Pablo Picasso, Marie Laurencin, Francis Picabia, Marcel Duchamp, André Masson...
Numéros de page :
pp.127-133

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Auteurs
Date parution pério
2018-06-01
L'histoire du surréalisme est ponctuée de brouilles, de réconciliations, d'excommunications et de retours en grâce. Rares sont les amitiés qui durent, comme celle qui unit André Breton et Benjamin Péret. Elle ne s'est pas démentie pendant quarante ans. Elle a survécu aux absences de l'un et à l'exil de l'autre. « Il m'arrive de plus en plus de penser à toi avec gravité - écrit Breton à Péret le 14 août 1946, après cinq longues années passées aux Etats-Unis - et cette pensée met en cause le sort, le destin dont parlent les livres. On regarde derrière soi, que d'écroulements.
Numéros de page :
pp.132-136