En Pologne, la profession ne fait plus rêver. Les jeunes se désintéressent d'un métier aux conditions de travail difficiles. L'article intitulé "Tracts et patates au bord de l'autoroute" indique une autre situation des camionneurs.

Les chauffeurs qui assurent le transport des marchandises en Afrique de l’Est sont accusés de propager le Covid-19. Ce qui rend leurs périples plus longs et plus dangereux.

Sans eux, sans elles, le pays se serait arrêté de tourner. Pourtant, la crise sanitaire n'a donné lieu à aucun grand baroud d'honneur envers les routiers et les routières. Au contraire, elle a révélé avec éclat le mépris de la société envers cette profession plus mal aimée que jamais. Un métier dévalué, où les femmes, invisibles parmi les invisibles, se sont peu à peu taillé une place, à force de volonté et de passion. Sommaire. Les routières sont sympas. Elles roulent pour nous. La "camionneuse", histoire d'un cliché. Des pseudos beaux comme des camions.

En 2016, pour la première fois, un camion sans chauffeur a effectué une livraison commerciale aux États-Unis. Depuis, les essais se sont multipliés, ouvrant la voie à un monde où les marchandises se déplaceraient sans intervention humaine. Face à cette révolution technologique qui menace l’existence même de leur métier, les routiers américains oscillent entre panique, déni et incrédulité.