Dans un entretien accordé à l'hebdomadaire cantonais Nanfang Zhoumo, un économiste de renom critique ouvertement l'Etat, trop interventionniste à son goût. Une liberté de ton très rare dans la presse chinoise.

Symbole de l'ouverture économique, la cité industrielle a été choisie par le Premier ministre pour évoquer le besoin de réformes politiques. Un point de vue soutenu par une éditorialiste très influente en Chine.

Les entreprises occidentales sont prêtes à tout pour accéder au marché chinois. Quitte à aider leurs partenaires d'aujourd'hui à devenir demain leurs concurrents de demain.

La session parlementaire annuelle se déroule dans un contexte de crise. Les autorités mettent donc l'accent sur le bien-être de la population. Un objectif qui sera difficile à atteindre, estime un journal taïwanais.

Dans deux des pays du monde qui affichent les plus fortes progressions du PIB, des économistes s'interrogent sur les bienfaits de ce boom pour la population.

La crise financière qui frappe la ville côtière, célèbre pour ses nombreuses entreprises exportatrices, pourrait bien préfigurer celle de la Chine tout entière.

Vive la lenteur ! A la veille du XVIIIe Congrès du Parti communiste chinois, qui doit marquer une transition politique majeure, la presse chinoise s'interroge sur la modernisation à marche forcée. Et si, après tout, la croissance ne faisait pas le bonheur ?

Depuis la mi-août 2015, la correction est rapide et sévère. Etat des lieux.

L'économie ralentit et certaines entreprises françaises installées dans l'empire du Milieu en souffrent. Mais toutes considèrent ce marché comme très porteur, même s'il a perdu son parfum d'eldorado.

Alors que le monde s'affole du ralentissement de l'économie chinoise, le continent doit-il se faire du souci ? Selon les spécialistes, il y a au contraire une belle opportunité à saisir. Explications.

Pour donner un coup de fouet à une économie en berne, les autorités vont devoir privatiser nombre d'entreprises. Mais, si possible, sans provoquer un désastre sur le front de l'emploi. Pas simple.

Pourquoi les Bourses s'effondrent-elles? Parce que l'économie s'essouffle. Et que le divorce est consommé entre les investisseurs et les autorités politiques. Avis de gros temps !