Prêts à retourner dans l'arène ? Dix ans après la fin de la tétralogie originale, le train pour Panem s'apprête à repartir. Nouveau casting, nouveau décor, nouvelle intrigue. Même succès ? Le réalisateur Francis Lawrence nous dévoile quelques secrets de ce prequel.

"La Passion de Dodin Bouffant", film sur L'amour de la gastronomie avec Juliette Binoche et Benoît Magimel, représentera la France aux prochains Oscars. Son réalisateur nous dévoile sa recette.

Wim Wenders compte parmi ces réalisateurs phares du cinéma mondial que nous accompagnons depuis leurs débuts : depuis "Au fil du temps" (1976), plus d'une douzaine d'entretiens pour suivre son évolution esthétique et le regard qu'il porte sur le monde. Au cours des deux dernières décennies, sa soif d'expérimentation est passée par un retour au documentaire et par l'utilisation de la 3D dans le cinéma d'auteur.

Pour son cinquantième film, Woody Allen s'est offert un cadeau en forme de renaissance. Le héros de son film précédent se fantasmait cinéaste européen ; Allen franchit le pas et tourne à Paris, en français et avec un casting entièrement français, un film sur le hasard, l'amour et le destin qui s'inscrit dans la lignée de "Match Point" et "L'Homme irrationnel". Il est possible que "Coup de chance" soit son dernier film, auquel cas ce seizième entretien avec le cinéaste pourrait être le dernier que publie "Positif". Comme il est possible que l'avenir nous réserve un nouveau coup de chance.

Après un été 2022 oblitéré par un box-office apathique et la prophétie de la décrépitude irréversible du cinéma, les salles obscures ont, douze mois plus tard, retrouvé la santé commerciale qui leur faisait tant défaut. Le miracle s'appelle "Barbie", dont les résultats dépassent les plus folles espérances - plus d'un milliard de dollars de recettes dans le monde ; meilleur démarrage de l'histoire pour un film réalisée par une cinéaste ; premier week-end d'exploitation le plus rentable depuis des lustres... Il faut dire que la production n'a pas lésiné sur la promotion.

Avec huit films en six décennies, Jean-Paul Rappeneau est l'un des plus parcimonieux parmi nos grands metteurs en scène. C'est un maître de la comédie, de l'aventure trépidante et des élans romanesques. Il compose ses scénarios comme des partitions et les met en scène avec l'élégance virevoltante d'un chef d'orchestre. Les acteurs et surtout les actrices sont ses solistes virtuoses, mais aussi, s'il le faut, les choristes d'une troupe à l'unisson jusqu'au moindre rôle.

Pierre Niney en Monte-Cristo, Ryan Gosling qui fait des cascades, Bruno Dumont qui fait son "Star Wars", la deuxième partie de "Dune", plus intense, Ayna Taylor-Joy dans "Furiosa" et une nouvelle version de "Nosferatu"... L'année qui se profite réserve son lot de surprises et d'excitation. Florilèges et exclus.

Après un détour par la France et la Corée du Sud, le cinéaste japonais est de retour au pays pour "L'Innocence", drame sur l'enfance porté par une structure complexe qui bouscule les points de vue. Explications.

Retour sur l'année 2023 du cinéma via quelques-uns de ses événements marquants : la star de l'année, le choc de l'année, le méchant de l'année, le hold-up de l'année...

Un algorithme plus ou moins bien intentionné a été chargé de restaurer en 4K une partie de la filmo du "King of the world", dont le trône s'est mis à vaciller comme jamais.

Deux ans plus tard, ou plutôt "deux à trois heures après le premier 'Dune'" selon Dilleneuve, Timothée Chalamet prend à bras-le-corps son destin de Messie de guerre dans "Dune : Deuxième Partie". Le réalisateur nous raconte les promesses et les enjeux d'un film colossal, destiné à régner sur le désert du blockbuster hollywoodien.

Son premier film, "Martha Marcy May Marlene", a été suivi d'un silence cinéma de presque dix ans. Le deuxième, "The Nest", s'est perdu dans le brouillard du Covid. La troisième fois sera la bonne : "Iron Claw", tragédie déchirante sur une famille de catcheurs se pensant victime d'une malédiction, impose Sean Durkin en cinéaste américain essentiel.