Chanteuse et clowne, Nathalie a enfourché son vélo. Direction : les routes japonaises pour une tournée dans les rues et les écoles, derrière son précieux nez rouge.

Voilà dix ans que cette "clown doctor" redonne le sourire à des enfants cancéreux. Voilà dix ans que ça marche.

Vaisseau de bois ancré rue des Vignes, dans le XVIe arrondissement, à deux pas de la Maison de la Radio, le théâtre du Ranelagh fut édifié en 1745.

Loin des clichés désuets du nez rouge et des sourcils soulignés, loin des frontières étanches entre le Blanc et l'Auguste, une nouvelle génération d'artistes revisite le personnage du clown : un rôle devenu multiple tant par la variété de ses caractères contrastés que par son utilisation de diverses formes de théâtre.

Aux quatre coins de la France, des clowns maléfiques terrorisent petits et grands. Certains passent même à l'attaque. Mauvaise farce potache, le phénomène viral brouille les pistes.

La peur des clowns est savamment exploitée par Stephen King dans son roman culte. Mais pourquoi s'effrayer d'un personnage comique ?

Conducteur de métro et poète, Vincent essaie depuis sept ans les trajets des voyageurs à coups d'annonces humoristiques.

Fabriquer du lien, voilà l'essence de ce projet bien drôle : dans le Lot, en france, des clowns sont employés "municipô" pour le bien-être des habitants et la croissance du bonheur communal brut.