L’indice mondial du prix des denrées alimentaires grimpe en flèche, dépassant les pics de 2008 et 2011. La note n’est cependant pas aussi salée au Nord qu’au Sud. L'article se conclut par un focus sur la situation aux Etats-Unis : "L'inflation peut-elle couler la présidence de Joe Biden ?".

La forte dépréciation de la monnaie turque a provoqué une flambée généralisée des prix dont souffrent les classes défavorisées et moyennes. "La pauvreté est bien là en Turquie", assure un économiste à ce site panarabe.

Du jamais-vu en plus de trente ans! Il n’y a pas qu’en Argentine ou au Liban que l’inflation galope. La hausse des prix touche l’ensemble des pays riches. Un épisode conjoncturel, avancent les grands argentiers : la crise de l’énergie et les goulets d’étranglement de la chaîne logistique ne devraient pas durer. Pourtant, la pression monte. Tandis que les banques centrales temporisent, les gouvernements parent au plus pressé et les consommateurs subissent. Faut-il apprendre à vivre avec ? Sommaire. Face à l’envolée des prix, l’Europe en ordre dispersé. L’inflation expliquée aux nuls.

Dans les quartiers pavillonnaires, la classe moyenne ne se débat pas seulement contre la vie chère. Elle se heurte aussi à un modèle d’urbanisme en crise, fondé sur le tout voiture. Les petites phrases d’Emmanuel Macron ont souvent heurté. La confiance envers les politiques s’est érodée.

A la pompe et dans les supermarchés, les prix à la consommation s'envolent. Le risque : un affaiblissement durable du pouvoir d'achat des ménages, et donc de l'économie tout entière. A l'Etat de calmer la valse des étiquettes. L'article se conclut par l'analyse de Sébastien Grob intitulée "Ce que votre porte-monnaie y gagnerait".

Il y a celles qui étaient censées être des "illettrées". Ce lui qui devait travailler pour "s'acheter un costard" ou celui à qui il suffisait de "traverser la rue" pour trouver un boulot. Ou encore celle qui devait comprendre qu'il n'y a "pas d'argent magique". Destinataires de certaines "petites phrases" d'Emmanuel Macron, ils et elles racontent aujourd'hui leur version de l'histoire. Sommaire. Jonathan Jahan, celui qui devait "traverser la rue". Valérie Foissey, l'aide-soignante et l'argent magique. Joëlle Crenn, Hassina Tamindjoute et Sylvie Bozec, les "illettrées" de Gad.

Transfert vers les plus vulnérables, baisse des taxes, régulation des prix... les pays européens prennent des mesures pour contenir l'inflation. Et pourraient encore étoffer leur boite à outils. Détails. Pas de chiffres.

Le retour brutal de l’inflation renvoie le monde, et l’Occident notamment, près de quarante ans en arrière. Partout, les prix grimpent, dopés par la guerre en Ukraine, mais aussi par la surchauffe d’un monde où l’offre n’arrive plus à suivre une insatiable demande. Certes, la France n’est pas la plus mal lotie, avec une inflation encore contenue à 4,8 % en avril, contre 7,4 % pour la zone euro et 8,3 % aux Etats-Unis. Mais cette exception hexagonale peut s’expliquer par le blocage des prix de l’énergie, qui voit une partie de la hausse des tarifs réglée par les deniers publics.

Alors que l'inflation s'accélère, le gouvernement peaufine son chèque. Enquête sur un dispositif né dans les cartons de la Convention citoyenne.

L'inquiétude des Français grandit face à l'inflation en 2022, selon un sondage sur le pouvoir d'achat réalisé par Appinio pour la deuxième fois en mai 2022 pour LSA. Mis en perspective avec le premier sondage datant de début janvier 2022, ces résultats montrent que la proportion de Français inquiets a progressé. Les consommateurs estiment ne pas avoir d'autres choix que de faire plus attention, voire de diminuer leurs dépenses, en commençant par les biens non-essentiels, mais aussi sur le poste alimentation. Explications et détails, avec données chiffrées (%). Graphiques.

La baisse des prix à la pompe offre un premier répit aux Français les plus touchés par l'inflation. Pour autant, d'autres charges - alimentation, services, loyers... - continueront à croître dans les prochains mois.

C'est une fuite des cerveaux qui ne dit pas son nom. Depuis la pandémie et l'avènement du télétravail, de plus en plus d'Argentins optent pour une nouvelle voie : vivre dans leur pays, mais travailler pour des entreprises étrangères et ainsi recevoir un salaire en dollars ou en euros. Mettant l'Argentine encore plus en difficulté.