"Un Jour d'avril" célèbre l'amour et l'amitié au temps du covid.

Avec Delikatessen, le romancier togolais Théo Ananissoh livre le superbe portrait d'une vedette en quête de liberté, métaphore d'un pays tiraillé entre ses désirs et la corruption de ses maitres.

Près de soixante ans après les accords d'Evian, le conflit reste remarquablement absent des écrans. Premier film d'Abdel Raout Dafri, "Qu'un sang impur" met fin à l'omerta. Ces derniers mois, il a été précédé par une escouade de jeunes auteurs de romans, théâtre ou BD qui ont mis cette plaie encore béante au coeur de leurs oeuvres.

Après une période prospère à la fin des années 1990, les textes aux thématiques relatives à la communauté LGBT+ bénéficient d'une nouvelle mise en avant dans les catalogues de maisons généralistes. Détails. Pas de chiffres.

Les habitants à poil et à plume du zoo de Rome sont, pour Pascal Janovjak, les témoins muets des grandes et des petites histoires de la Ville éternelle... et de l’humanité.

Existe-t-il une série japonaise à laquelle nous soyons plus attachés ? Pourtant, dans leur long voyage du Japon à la France, ces albums si délicats ont subi quelques avanies.

C’est le titre d’un ouvrage de Pierre Jourde, paru en 2015 : "La littérature est un sport de combat". On pourrait évidemment méditer longuement sur le côté ô combien symbolique (et politique) de la formule (d’ailleurs, le sport n’est-il pas, par essence, un combat, ne serait-ce que contre soi-même ?), mais il est aussi intéressant de la prendre au premier degré. Le saviez-vous ? Sous l’égide de Pierre de Coubertin, diverses épreuves artistiques furent intégrées aux Jeux olympiques, parmi lesquelles… la littérature !

Son nouveau roman, "Deux innocents", met en scène une enseignante qui se trouve injustement accusée de « gestes inappropriés » envers un élève. Une descente aux enfers qui interroge avec acuité notre époque.